. Le WWF sort du coup des chiffres de son chapeau, avec des virgules derrière et tout et tout, qui paraissent au plus haut point spéculatifs.
Et dans son rapport le WWF glisse tranquillement
Le rapport "Planète vivante" du Fonds mondial pour la
nature (WWF)
a écrit :présente l'EE comme l'un des deux
principaux indices permettant de quantifier les
changements qui affectent l'état des écosystèmes de
la planète.
(...)
Le rapport reconnaît que les catégories d’ empreinte
demeurent relativement rudimentaires et que les
calculs ne servent qu’ à donner une estimation
prudente de la demande écologique.
(La méthode de l'empreinte écologique a évolué depuis le milieu des années 1990, les spécialistes ayant tenu compte en grande partie
des critiques antérieures. Plus spécialement, ils ont abandonné l'idée de prouver une situation de "sur-utilisation" par le fait que l'empreinte écologique d'une population donnée dépasse la superficie qui lui est assignée. Une telle
conclusion ne tient pas compte des différences de densité démographique tout à fait appréciables qui peuvent s'estomper grâce aux échanges commerciaux)
Le succés de cette notion "d'empreinte écologique" chez certains écolos est véritablement une plaie.