excusez-moi, je ne parlerai plus de haine pour définir vos sentiments par rapport à la pstychanalyse.
mais Carnados, tu ne réponds pas à ma question
Et en quoi, si une maladie psychiatrique est — ou a du — génétique, cela rendrait nécessairement obsolète une théorie qui essaye de rendre compte de ce qui se passe dans la rencontre régulière avec le patient ? mais pour ne pas limiter au seul pathologique dont les frontières varient selon les époques et les sociétés, ne peut-on pas, en étudiant les bébés, les réveils de comas, les schizophrènes, constater qu’il posent tous l’énigme de la naissance de la psyché et appréhender cette dernière par des concepts qui se forgent chemin faisant ?
peux-ton avoir quelques concepts qui rendent compte du parcours de bébé pour devenir adulte ? ou faut-il attendre que les neurosciences nous mettent cela sur tableau ?
et maintenant en plus :
que pensez-vous de la génétique de l'homosexualité et de l'intelligence qui suivrait la couleur de la peau ? des chercheurs autant émérites que ceux que vous avez retenus pour les maladies mentales disent l'avoir démontré.
connaissez vous la révolution diagnostique de DSM qui en est au DSM 5 ? on n'a plus le droit de parler de névorse, c'était trop freudien.
pour la question à 3 euros, j'essayerai bientôt mais je préfère d'abord déblayer le terrain d'une possible science de l'homme qui rende compte du développement du sujet.