a écrit :
...
Cette étude ne tient pas compte des patients individuels (les auteurs auraient dû donner 242 traitements différents,
individualisés), a été faite en médecine générale et non dans un contexte homéopathique, les définitions employées
ne sont pas correctes, etc. Une recherche dans la littérature n’apporte pas d’information complémentaire. Ceci
résume l’ensemble du débat et toutes les autres questions restent posées. La discussion entre «partisans» et «non
partisans» reste actuelle. Les épidémiologistes «classiques» ont mis sur pied un canevas permettant d’élaborer de
bonnes études cliniques pour la médecine classique, mais, selon les homéopathes, cette technique n’est pas transposable
sur leur terrain.
...
Ceci n'est pas un fait nouveau, l'acharnement à vouloir user de protocoles allopathes en homéopathie démontre uniquement :
1) Une ignorance fondamentale de l'Homéopathie et de ses principes
2) Que de gros intérêts de laboratoires sont en jeu, qui expliquent l'emploi de méthodes démagogiques de mauvaise propagande...
Chacun sait que l'homéopathie est essentiellement une thérapie 'de terrain', qu'elle s'applique donc, nécessairement, de manière individuelle, distincte entre les individus pour une unique pathologie considérée. Vouloir appliquer un protocole allopathe pour une thérapie qualifiée d'homéopathique est simplement un non-sens.