(gaby a écrit :La question de l'exploitation, c'est pas seulement la réalité des conditions de travail dans lesquelles la jeune URSS devait s'investir, c'est surtout l'expropriation de la plus-value au bénéfice de la classe dirigeante...
a écrit :Le koulak voulait la terre, sa possession sans réserve, le koulak voulait avoir le droit de disposer librement de toute sa récolte; le koulak faisait tous ses efforts pour créer dans les villes sa contre-partie sous la forme du commerce et de l'industrie libres; le koulak voulait en finir avec les livraisons forcées à prix fixés; le koulak, conjointement avec le petit industriel, travaillait à la restauration complète du capitalisme. Ainsi s'ouvrit la lutte irréconciliable pour le surplus de la production du travail national. Qui en disposerait dans le plus proche avenir - la nouvelle bourgeoisie ou la bureaucratie soviétique ? - cela devint la question dominante, car qui en disposera aura le pouvoir de l'Etat à sa disposition.
(Puig Antich @ vendredi 6 janvier 2006 à 18:25 a écrit : Mais l'extorsion de la plus-value du producteur direct avait bien lieu. D'ailleurs, sans cette extorsion, l'argent et le salariat n'ont plus lieu d'être...
De quelle poche à quelle poche ? De l'individu à la communauté de l'état ouvrier. Ce que tu veux dire c'est que pareille configuration ne peut pas durer plus de quelques années, parceque c'est une contradiction plus insoutenable encore que le capitalisme ?
a écrit :De quelle poche à quelle poche ? De l'individu à la communauté de l'état ouvrier. Ce que tu veux dire c'est que pareille configuration ne peut pas durer plus de quelques années, parceque c'est une contradiction plus insoutenable encore que le capitalisme ?
(Vérié @ vendredi 6 janvier 2006 à 19:17 a écrit :(Gaby @ vendredi 6 janvier 2006 à 19:45 a écrit : [De quelle poche à quelle poche ? De l'individu à la communauté de l'état ouvrier.
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