Autre jeu débile

[emma-louise]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez

[satanas]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant ,grommelait Roudoudou, si tous

[emma-louise]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant , grommelait Roudoudou , si tous les fruits de mer , de l'huitre au bulot , voulaient bien

[Barnabé]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant , grommelait Roudoudou , si tous les fruits de mer , de l'huitre au bulot , voulaient bien présenter une candidature unitaire à

[amanda]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant , grommelait Roudoudou , si tous les fruits de mer , de l'huitre au bulot , voulaient bien présenter une candidature unitaire à l'île de Ré..

[ianovka]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant , grommelait Roudoudou , si tous les fruits de mer , de l'huitre au bulot , voulaient bien présenter une candidature unitaire à l'île de Ré, nul doute que la marée

[amanda]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant , grommelait Roudoudou , si tous les fruits de mer , de l'huitre au bulot , voulaient bien présenter une candidature unitaire à l'île de Ré, nul doute que la marée peu clémente envers les...

[gipsy]

Un jour, dans la Russie, de l'ancien temps , trois loups étaient devant un bois, quand soudain surgit d'on ne sait où, Ianovka, le méchant petit cochon, qui voulait les manger. Ces loups s'enfuirent bêtement, mais Ianovka les poursuivit. Tout à coup, les loups eurent une idée: se cacher sous un arbre au tronc creux et doté d'un étrange aspect. Pourtant , si l'on avait regardé le feuillage abondant, les tonelles du café Smirnoff qui faisaient la fierté des narodniki préparant l'attentat contre l'autocrate unanimement détesté et soutenu par le PPA, on se serait aperçu qu'Ottokar était à l'intérieur, préparant sa dose de chlorate de potassium en lisant le Figaro lorsque le telephone sonna, on signalait Ségolene, la gentille royale sur le pont de l'Alma, elle avait perdu ses lunettes. Soudain, Ianovka s'approcha du tronc. Il se tordit de rire. Il souffre; les côtes, les os craquent.Ahurissant : Les loups papouillaient l'ignoble Sarkozy et , soudain, Ségolenne apparut et passa la bague au doigt du plus féroce. Sarko tomba dans ses bras, sa petite taille lui permit d'échapper à l'objectif des paparazzi. Lorsque François Holland arriva... essouflé , suant et pleurnichant"-Bouh, fit-il, je veux qu'Ottokar le bien nommé nettoie La Courneuve au Karcher, mais auparavant qu'il chante l'internationale sur un pied en sautillant. Après quatre couplets, un vent glacial se leva, emportant le copain et son Karcher... Ils arriverent alors en Antartique dans une fête politique qui distribuait du hareng fumé à Pumsz qui adore ça, comme à celle de Lo! ... Barrikad chevauchant un ours polaire surgit en pleurant, criant, ce qui n'est pas son habitude, "plus vite, j'ai faim, ou y'aura plus de faises". Qu'en pensait LouisCR qui passait par là ??? Il tançait vertement Emma-Louise , méconnaissable déguisé en père Noël lisant le manifeste , baillant toutes les deux phrases et ironisant sur le style ampoulé des chapitres III et IV bis. Cependant Ottokar revint avec son Figaro suivi de Zelda accompagnée d' un chat de gouttière 1OO% marseillais qui buvait du Pastis mais Zelda comme souvent apostropha l'assemblée :"proletarier aller Länder, vereingt euch". Ianovka pleura alors sur l'épaule de "cochon en gelée" qui, gêné grattait ses pieds. Arriva alors Geronimo qui envisageait de créer un soviet, suivi de Pocahontas chantant la Varsovienne. Pocahontas était donc trotskiste quoique farouchement anti-moréniste. En réalité elle était pabliste... depuis son séjour chez SittingBull et sa tribu. Toutefois, quelques bisons bordiguistes venaient de retrouver l'herbe à vodka de leur Europe natale et s'appretaient à confectionner un Vodka-Redbull, version classiste du Cocktail Molotov... Les bisons ruminaient et ruminaient encore quand , au coeur des buissons desséchés , on entendit le cri de totore réclamant du rab de tartiflette en montant sur la grande roue qui jouxte la Tamise. Raymond hurla :" God save the Fourth International !!! ." Tout le monde s'accorda sur le réalité des " prémisses objectives de la Révolution prolétarienne". Mais en attendant , le repas est servi et nous avions faim. Raymond continua à clamer des vers de Maiakovski et des phrases de Trotsky pendant que sur l'écran de son téléviseur géant s'affichaient les résultats de la Coupe du Monde... enfin !!! La défaite de la Russie confirmait le pronostic de Tony Cliff... les carottes étaient cuites pour les chauvins de tous poils , comme les patates étaient frites ce soir là chez les faux-époux Turinge nostalgiques de la guerre froide ! Et pourtant , grommelait Roudoudou , si tous les fruits de mer , de l'huitre au bulot , voulaient bien présenter une candidature unitaire à l'île de Ré, nul doute que la marée peu clémente envers les joueurs de l'équipe de France...