Elections belges du 8 octobre

Dans le monde...

Message par com_71 » 04 Fév 2007, 11:14

(dago rouge @ dimanche 4 février 2007 à 10:54 a écrit :
a écrit :Pourquoi pas essayer d'échanger des expériences ?


Si tes camarades du forums pouvaient penser à ça ...

Mais que crois-tu que nous faisons déjà ici, sinon essayer d'échanger un peu ?

Déjà en accordant une certaine attention aux interventions du PTB, et en les discutant.

Il y a eu sur un autre fil la reproduction d'articles de LO sur les problèmes des travailleurs de Volkswagen (Belgique). Pour que l'échange ne soit pas à sens unique, tu pourrais dire ce que tu en penses. Comme par exemple dire ce que tu penses de l'article sur le "canular" à la télévision belge, qui avait déjà été signalé, mais qui vient d'être reproduit in-extenso sur le forum.
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par com_71 » 04 Fév 2007, 12:20

(dago rouge @ dimanche 4 février 2007 à 10:54 a écrit : nous sommes sortis d'une période de radicalisme (jusqu'en 2003-04), où nous avions affaire à une secrétaire de parti liquitatrice dans son reformisme, notre parti a multiplié par le passé des positions opportunistes de gauche mais nous sommes maitenant sur la bonne voie, la voie du succès.

(...)

Les dernières élections "nationales" en 2003 (législatives) ont été désastreuse pour nous (ligue avec un extremiste arabe) tandis que les dernieres élections communales en 2006 ont été un succès.

Tout cela n'est pas très clair.

Qu'en dit un porte-parole du PTB :

(Contribution du PTB à un "séminaire communiste international"
«Expériences passées et présentes dans le mouvement communiste international »
Bruxelles @ 5%7 mai 2006 a écrit :


Le Parti du Travail de Belgique et la lutte contre le « pacte des générations » du gouvernement libéral-socialiste (octobre-décembre 2005)

Jo Cottenier du Parti du Travail de Belgique

Il y a trois ans, notre parti a connu une tentative de remise en cause de la ligne fondamentale et du caractère révolutionnaire du parti. L’ancienne secrétaire générale du parti a voulu transformer le parti en un parti électoral. Cette tentative a été précédée d’un abandon progressif du travail communiste dans les entreprises et du travail militant dans la classe ouvrière, prenant pour prétexte la disparition inévitable des grosses usines. La nouvelle avant-garde était l’immigration et le sous-prolétariat. Pendant près de six ans, notre parti a glissé également sur la pente du gauchisme vis-à-vis des syndicats. Cela a mené progressivement le parti au désintérêt pour le travail syndical et à l’isolement dans les syndicats. Cette ligne a été encouragée et poussée à son comble par la secrétaire générale. En août 2002, le parti en appelait à la rupture avec « les organisations chauvines ».

La lutte de masse qu’a connu la Belgique au cours de la deuxième moitié de 2005 était pour le parti une occasion rêvée de redresser la barre et de réorienter le parti de fond en comble sur la classe ouvrière et sur le travail dans les syndicats. La direction du parti a saisi des deux mains cette occasion et le comité central en a fait un bilan très positif avec des leçons importantes pour notre futur travail. En voici quelques-unes.

La première leçon, c’est l’importance de suivre et d’analyser les orientations imposées par l’Union européenne. La plupart des grandes luttes en Europe sont pour l’instant des luttes défensives contre les attaques économiques et sociales qui sont commandées, dirigées et orchestrées par l’Union européenne. (..)

Une deuxième grande leçon, c’est qu’il importe non seulement d’avoir une bonne analyse, il faut surtout qu’elle passe dans le public cible. L’aspect communication joue également un rôle important. Nous avons lancé notre contre-campagne dès la fin 2004. Pour la mener, nous avons fait appel à différents aspects de la ligne de masse. La campagne était centrée autour 1° d’un profil général, 2° d’un mot d’ordre spécifique et 3° d’une revendication populaire.

1° Le parti a adopté comme profil général le slogan : « Les gens d’abord, pas le profit ». (...)
2° Le mot d’ordre spécifique que nous avons choisi pour cette campagne est : « 600 000 chômeurs, pourquoi travailler plus longtemps ? » D’abord parce que ce mot d’ordre a l’énorme mérite de rassembler en une seule lutte les jeunes et les personnes âgés, ceux qui ont du travail et ceux qui n’en ont pas. Ensuite, il met le doigt sur une contradiction évidente du plan et ouvre le débat sur les motifs cachés du gouvernement. Finalement, on aborde de façon avantageuse un problème de société : les uns crèvent au boulot pendant que d’autres sont condamnés au chômage. Le choix de ce mot d’ordre s’est avéré très judicieux. Les ministres eux-mêmes ont dû avouer que leurs arguments « scientifiques » n’ont jamais eu raison de ce raisonnement limpide et compris par tout le monde. Avec ce slogan nous avons frappé dans le mille et renforcé l’esprit de résistance dans les syndicats et dans les masses.

3° Le parti a aussi décidé de propager une revendication populaire. Nous avons exigé le droit à la préretraite à 55 ans, avec embauche obligatoire d’un jeune chômeur. (...)

1° Nous ne sommes pas un groupe syndical alternatif. Nous sommes un parti politique qui vise les vrais ennemis de la classe ouvrière, les patrons, le gouvernement et les partis bourgeois. Nous concentrons nos critiques sur ces ennemis. Ce sont eux qui influencent politiquement et mettent la direction syndicale sous pression. (...)

À ce propos, nous avons beaucoup avancé à travers ce mouvement. D’abord par une meilleure préparation des syndicalistes pour intervenir dans les structures syndicales. Des initiatives clé sont les forums et les cafés syndicaux que nous avons organisés à deux ou trois reprises dans chaque province du pays. Ensuite par un travail de front poussé avec beaucoup de syndicalistes. Nous avons organisé des débats avec participation de hauts responsables syndicaux. Et finalement par un recrutement intense de délégués. (...)Le parti prépare un congrès qui fait le bilan de la crise, mais qui centralise surtout la richesse des campagnes que le parti a menées depuis la rectification. Ce congrès devra mener la reconversion mentale jusqu’au bout et tirer toutes les leçons pour être plus marxiste-léniniste à l’intérieur et plus tactique vers l’extérieur.


le texte complet
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Message par com_71 » 04 Fév 2007, 12:39

A noter qu'à ce même séminaire le PTB déléguait Ludo Martens comme porte-parole pour introduire le sujet "L'internationale communiste" et le Parti Communiste de Belgique".

dont une discussion éventuelle sera plus à sa place sur l'autre fil.
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Message par dago rouge » 06 Fév 2007, 22:51

Fin de fin du feuilleton d'Hoboken. :-P

Hoboken • Le PTB sort renforcé du feuilleton du district

À Hoboken, pour la première fois, une partie du programme PTB+ a été reprise dans un accord de gestion. Et ce, sans que les élus fassent partie du collège.

Mark Kennes - Solidaire - 07-02-2007

[g]Mie Branders, élue PTB+, parle de cette première victoire modeste de son parti dans le domaine de l’administration du district.[/g]


Mie Branders (PTB+) : « Nous aurions préféré participer à la coalition, mais l’important pour les gens c’est que notre programme en 13 points soit repris dans l’accord de majorité ». (Photo Solidaire, Roland Teirlinck)

[#ff0000]N’êtes-vous pas déçue de ne pas faire partie de la majorité ?[/#]

Mie Branders. Je ne peux pas dire que je suis déçue. Il serait naturellement plus agréable d’avoir un échevin parce qu’ainsi, on peut mieux peser sur la politique. Mais quand je repense aux derniers mois, je garde un sentiment positif. Ce à quoi nous voulons vraiment arriver, c’est que les gens sachent que les districts sont utiles et qu’il est bon que le PTB y siège. Avec la reprise de notre programme en 13 points, Hoboken a l’accord de district le plus progressiste de tout Anvers. En compagnie de Dirk Van Duppen, à Deurne, nous voulons montrer aux autres districts comment le PTB défend des réalisations concrètes pour ses électeurs. Que cela se passe dans la majorité ou dans l’opposition n’est pas le plus important. Notre principal terrain d’action ne se situe pas non plus dans les collèges, mais dans la rue, avec les gens. La première chose que nous allons faire maintenant, c’est rendre visite à tous les comités de quartier qui nous ont soutenus au cours des mois écoulés. Nous leur demanderons quels sont leurs desiderata et doléances pour que nous puissions les mettre sur la table au conseil de district.

[#ff0000]Pourquoi le PTB voulait-il faire partie de la majorité ? N’est-il donc plus un parti d’opposition ?[/#]

Mie Branders. Pourquoi participer aux élections si on n’a pas l’intention de déterminer la politique ? Nous n’étions naturellement pas d’accord de participer les yeux fermés à une coalition. Il s’agissait en premier lieu pour nous du contenu et non des postes. Après qu’une partie de notre programme a été acceptée, nous n’avions plus de problème pour participer éventuellement à une majorité. Dans une coalition, vous devez toujours donner et prendre. La Ville d’Anvers en a toutefois décidé autrement. Maintenant que le PTB est dans l’opposition, nous ne sommes plus liés au moindre compromis. Aussi n’avons-nous pas l’intention, ces prochaines années, de mâcher nos mots.

[#ff0000]Pourquoi les autorités de la Ville étaient-elles si hostiles à une majorité avec le PTB ?[/#]

Mie Branders. Je crois qu’ils avaient peur que nous allions inciter les autres partis du district à constituer avec nous une opposition contre certaines décisions de la Ville. Pour l’éviter, les autorités étaient prêtes à jouer avec le feu et même à risquer une participation du Vlaams Belang au pouvoir. Notre faiblesse a été notre attitude clairement antifasciste. Les autorités communales savaient dès le début que nous ne laisserions jamais le VB accéder au pouvoir. Nous nous sommes démenés pendant quatre mois, sans nous laisser faire. Nous avons construit une bonne relation avec le SP.a, Spirit et d’autres progressistes à Hoboken. Ensemble, nous pouvons former une opposition forte contre les mesures antisociales du pouvoir communal, comme la privatisation des hôpitaux ou le coût exorbitant des sacs poubelle. À travers notre lutte, nous avons également remarqué beaucoup d’ouverture envers nous, tant chez les habitants que chez les journalistes. Ils ont appris à nous connaître comme un parti qui ose prendre ses responsabilités sans pour autant abandonner ses principes.


[#ff0000]Avec la discussion sur Hoboken, les médias ont en effet plusieurs fois parlé de façon très positive du PTB. Pourquoi, à votre avis ?[/#]

Mie Branders. Il y avait du suspense à propos de la coalition qui dirigerait le district. Les médias aiment toujours ça. Nous avons pris garde, dans nos rapports avec la presse, à ne jamais jeter de la boue sur personne, mais tout simplement à transmettre nos analyses. Mais le plus important était bien sûr le fait que, par leur attitude, les pouvoirs communaux niaient tout simplement les résultats des élections dans le district et qu’ils agissaient avec mépris pour l’autonomie des districts. Les écolos (Groen!) ont même publié un communiqué de presse disant que le bourgmestre Patrick Janssens (PS) avait empêché le Vlaams Belang d’entrer par la porte de devant à la Ville pour mieux le laisser entrer par la porte de derrière à Hoboken. L’attitude du bourgmestre a donc provoqué du mécontentement chez bien des gens, et pas que chez nous.


[#0000ff]La discussion sur Hoboken en sept points

1. Avant les élections communales du 8 octobre, Filip Dewinter, du Vlaams Belang, declare que son parti ne court plus pour une majorité au conseil communal d’Anvers, mais pour une majorité absolue dans les trois districts de Hoboken, Deurne et Merksem. Le PTB lui aussi mène surtout campagne à Hoboken et Deurne.

2. Le 8 octobre, l’accès du VB à la majorité absolue est empêché deux fois par les élus du PTB à Deurne et Hoboken. À Hoboken, le VB a un siège trop peu.

3. La solution pour Hoboken semble simple : les partis traditionnels + PTB = 11 sièges ; l’extrême droite = 10 sièges. Le PTB se dit d’accord d’entrer dans une coalition majoritaire, mais pose ses conditions.

4. Noël Slangen (VLD) et Bart Dewever (NVA) opposent un « veto absolu » à toute négociation avec le PTB. Si ce « veto » était passé, ils portaient la responsabilité de l’accession au pouvoir du VB. Chose que Dewinter n’aurait sans doute pas trouvée très grave.

5. Entre-temps, le PTB se prépare au débat concernant l’accord de gestion. Les districts n’ont toutefois que des moyens et compétences très restreints. Un mémorandum rédigé sur base du programme PTB+ est joint à l’accord de gestion. Dans ce mémorandum, le district pose ses revendications à l’adresse des pouvoirs communaux. Hoboken présente ainsi l’accord de gestion le plus progressiste de la ville d’Anvers.

6. Ce n’est qu’après que le contenu de l’accord de gestion a été fixé que débute pour le PTB la seconde discussion. Celle sur l’accès ou pas à la majorité. Le NVA et le VLD s’accrochent à leur précédent point de vue et veulent un collège minoritaire, avec ou sans le soutien du PTB dans l’opposition. Le SP.a Hoboken est toutefois pour une majorité avec le PTB. Les autorités communales anversoises, sous la direction du SP.a, s’opposent à cette participation du PTB et choisissent le camp du VLD et du NVA contre celui de leur propre section locale.

7. Le 26 janvier, le PTB prend ses responsabilités et vote pour une coalition minoritaire des partis traditionnels. Deux raisons à cette façon d’agir : l’acceptation de « son » mémorandum dans l’accord de gestion et une attitude antifasciste de principe. Pour la seconde fois en quatre mois, c’est le PTB qui, à Hoboken, tient le Vlaams Belang à l’écart du pouvoir.
[/#]

http://www.ptb.be/scripts/article.phtml?lang=2&obid=33678
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Message par com_71 » 08 Mars 2007, 09:10

Les camarades intéressés pourront consulter et comparer sur ce fil les commentaires écrits du PTB et de Lutte Ouvrière à propos de l'issue des récents mouvements à Volkswagen Forest. Bien sûr les réactions de la classe ouvrière ne dépendent pas de commentaires de la presse, même d'extrême-gauche, mais ceci est une autre histoire.
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Message par com_71 » 13 Mars 2007, 20:58

Dans "Lutte de Classe" de mars un article sur la formation de la Belgique, sur l'histoire des rapports entre le mouvement ouvrier et le communautarisme linguistique, etc
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Message par com_71 » 31 Mars 2007, 23:52

dans le journal du PTB :

a écrit :Deurne • Albert et Paola peuvent rester

Sire, on n’est plus sûr de rien ! Communiste et républicain, Dirk Van Duppen ne voit aucun inconvénient à garder les portraits de nos souverains dans la salle du conseil de district à Deurne.

Thomas Blommaert
28-03-2007
Vous froncez les sourcils ? Comme dans les autres communes et districts, le Vlaams Belang de Deurne a proposé d’évacuer les portraits d’Albert et Paola hors de la salle du conseil. Le Vlaams Belang, qui a obtenu le score record de 43 % aux dernières élections, a cependant essuyé un revers. La majorité, soutenue par l’élu du PTB Dirk Van Duppen, a voté contre. Assez pour que le VB suggère, dans un perfide communiqué de presse, que le « républicain » Dirk Van Duppen s’était laissé acheter par le SP.a en échange d’un poste à la société locale de logements sociaux.

« Un mensonge flagrant », répond Van Duppen. « À Hoboken, le médecin du PTB Eric Van Obbergen s’est effectivement vu offrir un mandat au conseil d’administration de la société de logements sociaux. Ceci parce que depuis des années, avec la conseillère de district Mie Branders, il s’engage pour résoudre les problèmes concrets et défendre les droits des locataires. »

Mais alors, pourquoi avoir voté contre ? « Ce qui se cache vraiment derrière cette proposition du Vlaams Belang, c’est la volonté de semer encore plus de haine et de division parmi la population du pays. En tant qu’élu du PTB, je veux clairement m’en distancier. C’est pourquoi j’ai rejoint le “non” de la majorité et j’ai soutenu la volonté de ne plus perdre de temps avec cette histoire. C’est une futilité qui ne fait rien avancer pour les habitants de Deurne. »

Opposition constructive

« Le PTB a toujours dit que, contrairement au Vlaams Belang, il mènerait une opposition constructive », conclut le médecin du peuple. « Ce que la majorité fera de bon pour les gens de Deurne, le PTB le soutiendra. Et ce qui ne sera pas bon sera critiqué, et le PTB mobilisera les gens pour protester. Mais ce que je veux surtout faire en tant que conseiller, c’est élaborer des bonnes propositions et les défendre. »
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Message par dago rouge » 01 Avr 2007, 23:55

Amusant, non ? :-P
Bah, c'est plus pour faire chier le Vlaams Belang qu'autre chose (sens des priorités, quoi).
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Message par Apfelstrudel » 02 Avr 2007, 00:04

:headonwall: :headonwall: :headonwall:
Apfelstrudel
 
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Message par com_71 » 02 Avr 2007, 06:54

[quote=" (dago rouge @ dimanche 1 avril 2007 à 23:55"]
Amusant, non ? :-P

Pas du tout.

Il y a en Belgique, dans le mouvement ouvrier, une longue tradition de prise de position (cf. la grande grève de 1950) contre la royauté.

libre au PTB de ne pas s'inscrire dans cette tradition.

http://www.monde-diplomatique.fr/2002/10/GOVAERT/16999
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