
le front des travailleurs
a écrit :
Und weil der Mensch ein Mensch ist
Drum hat er Stiefel im Gesicht nicht gern
Er will unter sich keinen Sklaven sehen
Und über sich keinen Herrn
(El convidado de piedra @ samedi 21 avril 2007 à 16:59 a écrit : Pour moi ( à part l'Internationale) celle-ci:a écrit :A las Barricadas
Negras tormentas agitan los aires
nubes oscuras nos impiden ver.
Aunque nos espere el dolor y la muerte
contra el enemigo nos llama el deber.
El bien mas preciado
es la libertad
hay que defenderla
con fe y con valor.
Alza la bandera revolucionaria
que llevara al pueblo a la emancipacion
En pie obrero a la batalla
hay que derrocar a la reaccion
A las Barricadas!
A las Barricadas!
por el triunfo
de la Confederacion.
a écrit : Pionniers rouges, marchons en colonnes,
Nos pas martèlent le sol ;
Drapeaux rouges éclatants au soleil du couchant
Emergeant de la houle des blés,
Nos pas sur le sol semblent dire en cadence :
Tu guideras nos pas, Zimmerwald.
Là-bas, émergeant de la plaine,
Paysan reprend haleine,
De la guerre a souffert bien qu’il n’ait pas de terre,
Aujourd’hui c’est toujours la misère ;
On entend sa faux qui chante dans les blés :
Tu guideras nos pas, Zimmerwald.
Sortant éreinté de la mine,
Regagnant son noir coron,
Le mineur que l’on croise et qui lève le poing
Dit : le monde va changer de base.
Le pic sur le sol, qui creuse le charbon :
Tu guideras nos pas, Zimmerwald.
Voici un régiment qui passe.
Bétail marchant vers la guerre.
Dans les rangs des yeux clairs fixent notre
drapeau
Mais l’officier oblige à se taire.
Au reflet des fusils le soleil a écrit :
Tu guideras nos pas, Zimmerwald.
Partout la parole de Lénine,
De Liebknecht et de Rosa
Retentit dans les champs, les casernes, les
usines,
L’ennemi est dans notre pays ;
Si la guerre éclate, le bourgeois à abattre
Sera écrasé par Zimmerwald.
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 0 invité(s)