CITATION Ah Mata, que non Matta, faudrait qu'il explique, mais comme il est mort, on va le classer dans les formalistes qui peignaient pour les bourgois.
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Personnelement, je ne connais pas un seul artiste qui ne travaille pas pour les bourgeois, puisque c'est les seuls qui ont la capacité d'acheter ses oeuvres...
Restons un petit peu a Matta, parce que c'est intéressant.. C'est pas la question que ça plaise, ou que ça plaise pas (puisque tout ça est totalement subjectif, et fait peu appel a la raison
Voila quelques éléments sur l'engagement politique de Matta
CITATION Souvent négligé, son engagement politique prend une place grandissante dans son œuvre. Ainsi, en 1952, le procès de Julius et Ethel Rosenberg lui inspire Les roses sont belles (les Rosenberg seront exécutés l'année suivante).
En 1958, après la lecture du livre d'Henri Alleg sur la torture en Algérie, il peint La Question, Djamila. En 1964, il rend hommage au dirigeant communiste Julian Grimau, exécuté en Espagne l'année précédente, en peignant une immense composition de 9 mètres de long, Les Puissances du désordre. Il participe en janvier 1968 au premier congrès culturel de La Havane, réunissant à Cuba des intellectuels du monde entier pour discuter des problèmes culturels des pays sous-développés.
En France, il prend une part active aux événements de mai 1968, dessinant des affiches pour l'atelier populaire des Beaux-Arts et transférant tous les tableaux de son exposition du Musée d'art moderne de la Ville de Paris à Châtillon-sous-Bagneux, dans l'usine Nord-Aviation dont les ouvriers sont en grève. Enfin, en 1973, il prend violemment position contre le coup d'Etat de Pinochet au Chili et coupe tout lien avec son pays natal. Un nouvel exil, qui s'ajoutait au premier, dont il disait : "C'est cet exil qui a déterminé toute ma vie, entre deux cultures. Mon travail est un travail de séparation." "De l'exil, je suis passé à l'"Ex-il", quelque part entre le connu et l'inconnu, entre la réalité et l'imaginaire. Là où commence la poésie." [/quote]
et celle la, que j'aime bien ; la bourse
Effectivement, ce n'est pas