imposer l'appel uni à la grève générale

Message par Louis » 19 Mai 2003, 23:12

m'enfin, je vais tous vous mettre d'accord (contre moi) : tout ça, c'est discussions et compagnies Le tout, c'est de s'efforcer de proposer une solution politique, un véritable parti des travailleurs.... Pfffff, y'a du boulot..
Louis
 
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Message par tristana » 20 Mai 2003, 14:26

CITATION (LouisChristianRené @ mardi 20 mai 2003, 01:12)
m'enfin, je vais tous vous mettre d'accord (contre moi) : tout ça, c'est discussions et compagnies Le tout, c'est de s'efforcer de proposer une solution politique, un véritable parti des travailleurs.... Pfffff, y'a du boulot..[/quote]
Extrait d'une discussion ce matin à l'AG de l'école:
La droite et le PS, c'est kif kif.
La prochaine fois, on vote tous Besancenot!
Ca m'a fait plaisir...
tristana
 
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Message par com_71 » 21 Mai 2003, 23:42

Voilà un extrait de "Lutte de Classes", de Novembre 1945
CITATION
Prolétaires de tous les pays, unissez-vous
La Lutte de Classes
Organe de l'Union Communiste (IVe Internationale)

N°54
TROISIEME  ANNEE
14 NOV. 1945


Qu'est-ce qu'un gouvernement
OUVRIER ET PAYSAN ?

LA CLASSE OUVRIERE
SANS DIRECTION REVOLUTIONNAIRE

   Affublé d'une peau de lion, un personnage d'une pièce de Shakespeare dit aux spectateurs : "...sous cette peau de lion ce n'est que moi, Snug, le menuisier ; car si j'étais venu comme un lion irrité dans ce lieu, ma vie courrait de grands dangers". Le naïf artisan, qui joue pour la première fois la comédie, craint que son déguisement ne le mette en danger !

   Les chefs du P.C.F., quoique vieux comédiens nullement naïfs, habitués à tromper le public, montrent cependant la même crainte.

   Pendant la campagne électorale, ils avaient -en paroles- revêtu la peau du lion populaire pour combattre le nouveau Bonaparte et le M.R.P., suppôt de la réaction capitaliste.

   A peine les élections finies, ils se sont mis à braire, avec leurs "adversaires" de la veille, leur amour pour "du neuf et du raisonnable" cher à De Gaulle, au Monde, au Figaro, et leur reconnaissance au général (dans L'Huma du 4 novembre, les élus staliniens du Conseil général de la Seine "renouvellent l'expression de leur confiance et de leur gratitude au général De Gaulle").

   Les chefs du P.C.F. ont une peur mortelle que les masses laborieuses, ayant présents à l'esprit non pas leurs reniements répétés, mais leurs paroles de la veille, les contraignent à lutter effectivement "en lion irrité" contre Badinguet -De Gaulle, contre le M.R.P., pour la refonte de l'économie au service des classes laborieuses, lutte dans laquelle leurs postes, leur tranquillité de bureaucrates engraissés, plus même que leur vie, "courraient de grands dangers" !

   Si les craintes de Snug sont imaginaires, celles de Thorez ne sont que trop fondées, car :

       -d'une part, la grosse majorité des 5 millions de votants n'ayant pas encore "compris" les manoeuvres des chefs du P.C.F., patiente actuellement, mais entend voir les actes suivre les paroles ;

       -d'autre part, un grand nombre d'ouvriers n'ont voté pour le P.C.F. que pour ne pas voter pour le M.R.P. ou le P.S. ; mais ils sont déjà conscients qu'ils sont trahis et cherchent une nouvelle direction prolétarienne.

   Cela semble contredit par le fait qu'un Parti qui s'est présenté comme cette nouvelle direction prolétarienne, le Parti Communiste Internationaliste, n'a recueilli que 8.200 voix dans le premier secteur de Paris. Mais ce Parti est apparu plutôt comme du stalinisme inconséquent, que révolutionnaire conséquent. Car, comme le P.C.F., il a participé au plébiscite pétainiste en votant Oui-Non, au lieu d'appeler les ouvriers à le boycotter pour se mobiliser contre le complot de De Gaulle ; comme les chefs du P.C.F., ses dirigeants ont semé les pires illusions au sujet du Parlement bourgeois en faisant croire que cet instrument d'oppression bourgeois peut être transformé en un organe démocratique pour les travailleurs ; tout comme les chefs du P.C.F., ils ont dit aux ouvriers que ceux-ci pouvaient contrôler le Parlement de la bourgeoisie, et comme eux également ils ont réclamé la révocabilité des députés élus par le suffrage universel, alors que des députés révocables à tout instant ne sont possibles que dans un système soviétique, celui des Comités élus par les masses en lutte.

   Or, pour dire cela, le "secrétaire général" Thorez a infiniment plus de poids que le "secrétaire général" Demazière , du P.C.I. !

   Le peu de voix qui sont allées au P.C.I. ne dément en rien le dégoût de larges masses prolétariennes pour la politique du P.C.F. Cela montre seulement que la classe ouvrière n'a pas encore de nouvelle direction révolutionnaire.


GOUVERNEMENT P.C.F.-P.S.-C.G.T.

   Mais l'expérience électorale n'a rien appris au P.C.I.

   Son organe La Vérité (le 9-11) appelle à la formation d'un "gouvernement P.C.F., P.S., C.G.T., sans De Gaulle, sans M.R.P., sans Radicaux", car aux dernières élections "le peuple leur a donné le pou-voir, tout le pouvoir". Et La Vérité s'indigne que Thorez et Blum "s'apprêtent à le partager" avec De Gaulle, avec le M.R.P., avec les Radicaux.

   Le simple bon sens manque à La Vérité ! Car si on se base sur les dernières élections, le M.R.P. a obtenu presque autant de voix que le P.C.F., et, d'autre part, c'est De Gaulle que le plébiscite a désigné comme futur chef du gouvernement.

   Si, pour tout homme doté de bon sens, c'est chose claire, pour nos éminents tacticiens de La Vérité, cela paraît trop simple pour être vrai.

   Le P.C.I., voulant à tout prix déguiser de simples élections parlementaires (qui décident seulement "quels seront les représentants des classes possédantes qui représenteront et opprimeront le peuple au Parlement" -Lénine-) en action "révolutionnaire", dit des bêtises : car du résultat des dernières élections on ne peut tirer d'autres conclusions "radicales" que celles de Thorez : "Il faut tenir compte des volontés du peuple qui a voté à gauche, former un gouvernement à majorité socialiste et communiste". Et l'expérience électorale des masses donne raison à Thorez et non à La Vérité.

   Le résultat de ces fantaisies est non seulement que les travailleurs n'y comprennent rien, mais, fait aussi grave, elles conduisent aux pires reniements des vérités élémentaires du marxisme : "Le peuple leur a donné le pouvoir (le 21 octobre)" ! Mais pour cela, il faudrait que le peuple possède le pouvoir. Serions-nous déjà, par hasard, sans nous en être aperçus en régime prolétarien ? Comme la bourgeoisie, La Vérité fait passer les élections du 21 octobre pour l'expression de la "souveraineté du peuple" !

   En réalité, l'appareil étatique actuel, même coiffé de ministres communistes et socialistes, ne peut fonctionner que contre le peuple : exemple le gouvernement Blum soutenu "sans éclipse" par Thorez.
L'enseignement principal du marxisme est basé sur l'expérience de la Commune de Paris  qui a montré que le peuple ne peut pas s'emparer du pouvoir en mettant des préfets et des ministres "socialistes" à la tête des organes bureaucratiques de l'Etat bourgeois. Les révolutions de 1905 et de 1917 en Russie ont fait surgir pour la première fois la nouvelle forme étatique du pouvoir des masses ouvrières : les Comités (Soviets), "un pouvoir nouveau à la fois centralisé et pleinement démocratique, appuyé sur la lutte directe et sur l'immense force des masses travailleuses".

   Si "le peuple", en la personne de la classe ouvrière, concentrait ce pouvoir effectif entre ses mains en face de la puissance bourgeoise (police, corps d'officiers, Parlement, Bourse, etc.), si, élus comme gouvernement du pouvoir ouvrier des Comités, les Thorez et les Blum partageaient ce pouvoir ouvrier avec des bourgeois, dans ce cas, leur dire : prenez tout le pouvoir ! ce serait les mettre au pied du mur et démontrer aux ouvriers qu'ils livrent à la bourgeoisie le pouvoir que les ouvriers lui ont arraché. Les ouvriers chercheraient alors des représentants plus décidés, pour maintenir leurs conquêtes et construire la nouvelle société.

   Par contre, pousser les Partis se réclamant de la classe ouvrière dans la galère du gouvernement bourgeois, cela ne servirait qu'à répéter l'expérience Blum, qui s'est retournée contre la classe ouvrière au profit de la bourgeoisie.

   Si l'on veut lutter pour un gouvernement ouvrier, il ne faut pas mettre les boeufs derrière la charrue, c'est-à-dire les Socialistes, les communistes et la C.G.T. derrière la machine de répression de la bourgeoisie. Car en régime capitaliste, c'est à elle que les masses ont toujours affaire, quel que soit le gouvernement ("le gouvernement passe, la police reste") ; mais il faut mettre les boeufs devant la charrue, c'est-à-dire atteler les Partis ouvriers au nouveau pouvoir des Comités ouvriers. Cela s'appelle Gouvernement des Comités ouvriers et paysans.

   Le soi-disant mot-d'ordre "P.C., P.S., C.G.T. au pouvoir" sur la base d'élections contrôlées par la bourgeoisie n'est qu'un coup de sabre dans l'eau.


QUE VEULENT LES OUVRIERS ?

   Manier des mots d'ordre sans contrôler les sentiments véritables de la classe ouvrière, faire appel aux étiquettes jaunies du P.C.F., du P.S. et de la C.G.T. pour mobiliser celle-ci, c'est faire montre d'un manque complet de liaison avec les masses ouvrières : les ouvriers n'ont plus confiance ni dans les étiquettes, ni dans les promesses.

   Prenons le mot d'ordre de "nationalisation" ; là où on n'a pas expliqué aux ouvriers que les nationalisations actuelles ne sont qu'un mensonge, les ouvriers craignent les "nationalisations", car ils ont constaté que dans les usines "nationalisées", le seul changement, c'est qu'ils ont en plus de la garde-chiourme habituelle les dirigeants syndicaux sur leur dos.

   Quant à leur attitude vis-à-vis des Partis, la conclusion la plus répandue est celle-ci : "Tous trahissent ! Ceux qui sont fidèles étant en minorité, trahiront quand ils deviendront eux-mêmes des dirigeants."

   Que doit-on répondre, sans aucun embellissement de la vérité, aux travailleurs qui commencent à perdre tout espoir ?

   "En effet, il est toujours possible que des députés "ouvriers", une fois élus au Parlement bourgeois, trahissent ceux qui les ont élus. Mais si les travailleurs organisent leur propre "Parlement ouvrier;, c'est-à-dire un Conseil de députés ouvriers, paysans, soldats, d'usine, de quartiers, de village et de régiment, ils peuvent exercer un contrôle permanent sur leurs élus et remplacer immédiatement ceux dont les actes ne correspondent pas à leurs paroles. Les Comités; leur donneraient le moyen non seulement de mettre à l'épreuve les Partis, mais de choisir de nou-veaux représentants qui se révéleraient dans la lutte ouvrière comme les plus clairvoyants et les plus dévoués. Les Comités; aboutiraient ainsi non seulement au contrôle, mais à un renouvellement total du personnel politique ouvrier qui, actuellement, sabote la lutte ouvrière.

   Cela signifie-t-il de la part des ouvriers un effort mille fois plus grand que pendant les élections, et de tous les jours ? Oui ! Mais les travailleurs ne peuvent pas renoncer à lutter sans se condamner à une existence de plus en plus misérable. Et ne font-ils pas au service de la bourgeoisie des sacrifices infiniment plus grands que ceux exigés pour leur émancipation politique et sociale ?

   Dans cette lutte, la conscience de millions de prolétaires s'élèvera au niveau des tâches à résoudre. Et sur la base de ses conquêtes, le prolétariat soviétique de France et du monde sera définitivement maître de son destin.

   Les travailleurs conscients profiteront de toutes les luttes ouvrières pour démontrer ces vérités aux ouvriers et sur la base d'une expérience nouvelle qu'ils feront acquérir à tous les travailleurs ils les conduiront VERS LE GOUVERNEMENT DES COMITES D'OUVRIERS ET DE PAYSANS.

[/quote]
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par stef » 22 Mai 2003, 09:04

Ce n'est pas le PCI de 45 ou CPS que vous n'êtes pas d'accord, c'est avec :trotsky: et la IV° Internationale.

Démonstration - en se souvenant que 1/ :lenine: en juillet 17 disait aux menchéviks et SR "Prenez le pouvoir !" et que 2/ :trotsky: se prononçait pour un gvt Blum-Cachin en 1936.

Il est écrit que :
CITATION

l'appareil étatique actuel, même coiffé de ministres communistes et socialistes, ne peut fonctionner que contre le peuple
[/quote]
Ext-ce à nous que s'addresse ou à :lenine: et :trotsky: ?

Et ça ?
CITATION
L'enseignement principal du marxisme est basé sur l'expérience de la Commune de Paris  qui a montré que le peuple ne peut pas s'emparer du pouvoir en mettant des préfets et des ministres "socialistes" à la tête des organes bureaucratiques de l'Etat bourgeois. Les révolutions de 1905 et de 1917 en Russie ont fait surgir pour la première fois la nouvelle forme étatique du pouvoir des masses ouvrières : les Comités (Soviets), "un pouvoir nouveau à la fois centralisé et pleinement démocratique, appuyé sur la lutte directe et sur l'immense force des masses travailleuses".
[/quote]

Ou :
CITATION
pousser les Partis se réclamant de la classe ouvrière dans la galère du gouvernement bourgeois, cela ne servirait qu'à répéter l'expérience Blum, qui s'est retournée contre la classe ouvrière au profit de la bourgeoisie.
[/quote]

A comparer à :

CITATION
(...) Il faut dire toutes les conséquences de cette situation. La première et la plus importante est qu'il faut lutter pour le pouvoir. Le but du Front unique des partis socialiste et communiste ne peut être qu'un gouvernement de ce Front, c'est-à-dire un gouvernement socialiste-communiste, un ministère Blum-Cachin. Il faut le dire ouvertement. Si ce Front unique se prend au sérieux-et c'est à cette seule condition que les masses populaires le prendront au sérieux-, il ne peut se dérober devant le mot d'ordre de conquête du pouvoir. Par quels moyens ? Par tous ceux qui mènent au but. Le Front unique ne renonce pas à la lutte parlementaire. [/quote]

( :trotsky: - Où va la France ?)

C'est avec ça que vous n'êtes pas d'accord par principe ! Les arguments développés dans la LdC n'ont rien de conjoncturel : ils sont de principe. L'honnêteté la plus élémentaire devrait vous obliger à l'éclire clairement.


stef
 
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Message par stef » 22 Mai 2003, 09:16

Et pour Rojo, qui ne veut décidément pas comprendre :
Voici pourquoi l'Internationale Communiste se prononçait pour un gvt unitaire avec les assasins de :luxemburg: :
CITATION
En Allemagne, le Parti Communiste, à la dernière session de son Conseil National, s'est prononcé pour l'unité du front prolétarien et a reconnu possible d'appuyer un « gouvernement ouvrier unitaire » qui serait disposé à combattre sérieusement le pouvoir capitaliste. L'Exécutif de l'Internationale Communiste approuve sans réserve cette décision, persuadé que le Parti Communiste Allemand, tout en sauvegardant son indépendance politique, pourra ainsi pénétrer dans de plus larges couches prolétariennes et y fortifier l'influence communiste. [/quote] (Thèses sur l'unité du front prolétarien - IV° Congrès)

Etant entendu, qu'un tel gouvernement ne saurait être qu'une transition vers un authentique gouvernement de la dictature prolétarienne, un gouvernement des conseils.

stef
 
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Message par reval71 » 22 Mai 2003, 09:48

La grande différence qui existe entre les SD de l'entre 2 guerres et maintenant c'est qu'à l'époque même si la trahison de la sociale démocratie était avérée elle tenait encore des discours en direction de la classe ouvrière sur les bases de la lutte de classe, elle ne econsidérait pas la révolution prolétarienne et la dictature du prolétariat comme un moyen inévitable de la prise du pouvoir de la classe ouvrière mais le discours tenu par les dirigeants sociaux démocrates ne reniaient pas le fait que l'on pouvait arrivé à une société sans classe ; les moyens qu'ils mettait en face étaient l'utilisation du parlementarisme bourgeois et c'est là que se situait la trahison politique ( relire a ce propos communisme et terrorisme).
A cette époque pousser au gouvernement unitaire aurait permis de démasquer le fait que le réformisme des sociaux démocrates ne pouvait mener qu'à une impasse et ne permettrait jamais de donner le pouvoir à la classe ouvrière qui pour le faire devait lutter les armes à la main et détruire l'appareil d'état bourgeois.

Je ne sais pas si tu as entendu le discours des dirigeants PS et PC actuel mais moi je n'est entendu à aucun moment dans leur bouche un quelconque message en direction de la classe ouvrière.
Même au sujet des retraites ils ne sont pas capable de proposer une alternative crédible au plan Fillon. La seule chose qu'il propose c'est un tube de vaseline pour faire passer la réforme.

Depuis 20 ans ils nous ont habituer à leur discours anti ouvrier et c'est ces gens là que nous dénonçons depuis des années que tu voudrais proposer comme alternative au gouvernement UMP.

Il faut dénoncer plus férocement ces gens comme les complices du capital et mener la lutte en ayant comme mots d'ordre "prolétaires sauvont nous nous même!!" "refusons la compromission des directions syndicales" "organisons notre défense par l'intermédiaire des comités démocratiques de grèvistes" .
Toi qui cite si souvent Trotsky, dans le programme de transition le vieux considère que l'organe démocratique des travailleurs en grève est le comité d'usine revendication devant laquel les syndicats doivent plier.

C'est maintenant la revendication que les travailleurs grévistes doivent mettre en avant et non pas de fumeux appels aux directions syndicales.

Qu'il faille se battre au niveau des UL pour faire passer ce message, je te le concède, mais dans le but de ramener l'ensemble des travailleurs syndiqués sur les bases de notre agitation.



reval71
 
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