la réforme des universités

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par Tchen » 17 Juil 2007, 12:23

L'article du canard et la tribune de la fraction sont très bien: clairs synthétiques.
Tchen
 
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Message par Tom » 18 Juil 2007, 14:43

L'AGEL FSE organise une réunion d'information sur la loi d'autonomie des universités dite loi Pécresse. L'AGEL FSE présentera ses analyses les réfromes ainsi que les perspectives de cette été et à la rentrée.
Cette réunion est ouverte à tou-te-s, RDV salle Timbaud (derrière la mairie) à 14h30 samedi 21 juillet.
Tom
 
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Message par Puig Antich » 23 Juil 2007, 18:25

a écrit :25 organisations réclament l'abandon du projet de loi sur les universités
AFP
Par Karine PERRET AFP - il y a 34 minutes

PARIS (AFP) - Vingt-cinq organisations de l'enseignement supérieur et de la recherche, mais aussi la Ligue des droits de l'homme et des parents d'élèves ont réclamé lundi d'une même voix l'abandon du projet de loi sur l'université dont l'examen a débuté le même jour à l'Assemblée.
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Démarche "inédite en cette période de l'année", le Snesup-FSU (principal syndicat de l'Enseignement supérieur), les syndicats de l'Unsa-Education, la Ligue des droits de l'homme (LDH), le Syndicat de la magistrature, la FCPE (parents d'élèves), Sauvons la recherche, Attac, l'Union nationale lycéenne (UNL), le Réseau université sans frontières, pour ne citer que ces organisations, ont tenu lundi pour une conférence de presse commune.

Enonçant pour objectif de "mettre en échec" le projet de loi, le Snesup-FSU, initiateur de cette démarche, a évoqué des "actions à la rentrée", sans exclure "la grève", selon Jean Fabbri, son secrétaire général.

Les organisations d'étudiants étaient absentes: interrogé par l'AFP, le président de l'Unef, Bruno Julliard, a indiqué préférer tabler sur une modification du texte pour le "rendre acceptable", plutôt que de demander son retrait.

"Je pense que les étudiants nous rejoindront", a néanmoins estimé M. Fabbri, leur lançant, avec "un espoir raisonnable" de succès, "un appel" à se joindre à la mobilisation.

Le projet de loi, voté par les sénateurs le 12 juillet, prévoit que dans un délai de cinq ans, toutes les universités accèderont à l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines.

Or l'autonomie "ouvre la porte à leur développement inégalitaire favorisé par la course aux financements et par le désengagement de l'Etat", estiment dans un texte commun les organisations, qui redoutent l'introduction de "mécanismes concurrentiels entre universités et entre individus".

"Les diplômes n'auront pas la même valeur selon qu'on les aura obtenus dans un Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (Pres) prestigieux ou dans un établissement de seconde zone", a fait valoir Marie Ganozzi, du Snasub-FSU (personnels non enseignants).

Autre sujet d'inquiétude, pour les signataires, la possibilité offerte au président d'université de recruter des contractuels: selon eux, cela "casserait le statut" de la fonction publique et introduirait davantage de "précarité".

"Nous sommes dans une logique globale de démantèlement du service public", a ainsi affirmé Danièle Lochak, vice-présidente de la LDH.

Celle-ci a par ailleurs dénoncé, "même si ce n'est pas dans le texte" en discussion à l'Assemblée, "les lois Sarkozy" sur l'immigration, qui aboutiront, selon elle, au "tri, sous (couvert du) label +compétences et talents+, des étudiants étrangers" désireux de venir étudier en France.

La FCPE craint enfin que le texte n'engendre "une augmentation des frais de scolarité".

"Des motions demandant le retrait du projet de loi" ont été adoptées par différentes instances, dans quelque "40 universités" (sur 85), a assuré le président de l'Université de Paris VIII, Pascal Binczak, présent à la conférence de presse, à titre individuel.

La Conférence des présidents d'université (CPU) n'est en effet pas signataire du texte commun, ayant émis "un avis très positif sur le contenu de la loi", a précisé à l'AFP Jean-Pierre Finance, son premier responsable, en rappelant que la CPU était demandeuse du texte.

En outre, trois pétitions émanant essentiellement des personnels - surtout les enseignants-chercheurs - contre le projet circulent, qui ont recueilli quelques milliers de signatures.


L'UNEF doublée sur sa gauche par l'UNL :blink: :blink:

Y'en a qui tiennent pas bien leur appareil. :17:
Puig Antich
 
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Message par south hamerik1 » 24 Juil 2007, 14:22

(Puig Antich @ lundi 23 juillet 2007 à 19:25 a écrit : Le projet, qui prévoit l’autonomie des établissements, arrive à l’Assemblée. Un texte qui bousculerait les corporatismes, selon le rapporteur UMP.

S’il est un texte que Nicolas Sarkozy voulait absolument faire voter avant septembre, c’est ce projet de loi instaurant l’autonomie des universités. Adopté au Sénat le 12 juillet, il sera en débat à partir d’aujourd’hui à l’Assemblée nationale. Ce sera le texte «le plus important de la législature», assure le Premier ministre François Fillon.

Devant les parlementaires de la majorité, réunis le 20 juin au palais de l’Elysée, le chef de l’Etat affichait crânement sa détermination : «Tout le monde est d’accord sur la nécessité de réformer notre système universitaire. Un seul argument s’y oppose. Un seul : C’est dangereux. Ceux qui n’aiment pas le danger, il faut qu’ils choisissent une autre activité.»
Commission mixte. Cette réforme «dangereuse» prévoit que toutes les universités devront avoir pris leur autonomie dans un délai de cinq ans. Présentée par la ministre de l’Enseignement supérieur Valérie Pécresse, elle devrait être votée d’ici mercredi. Sans doute avec quelques amendements qui rendront nécessaire la convocation d’une commission mixte de 14 députés et sénateurs chargés de la rédaction du texte définitif.
La réforme en elle-même n’est guère contestée. A gauche comme à droite, on reconnaît qu’il était urgent de revoir la gouvernance des universités. Le projet de loi reprend d’ailleurs 19 des 21 propositions d’un rapport de la mission d’évaluation de l’Assemblée nationale. Coauteur de ce rapport, le député PS Alain Claeys estime cependant que, dans sa précipitation, le gouvernement a oublié l’essentiel : la lutte contre l’échec en 1er cycle et l’augmentation des moyens pour les universités, les deux «préalables» que posaient son rapport. «Si ce gouvernement avait vraiment voulu faire de l’université sa priorité, il aurait prévu un collectif budgétaire au lieu de se précipiter pour faire passer son bouclier fiscal.», note l’élu socialiste qui, avec le groupe PS, a déposé une soixantaine d’amendements.
Dans l’aile libérale de l’UMP, l’enthousiasme n’est pas débordant : «Tout cela me paraît un peu survendu, comme les textes sur le travail et sur la justice. Le discours est très énergique mais la réforme, elle, est plutôt. chiraquienne», confie un déjà déçu du sarkozysme. Le député UMP Claude Goasguen a déposé un amendement visant à modifier le mode de scrutin pour l’élection des conseils d’administration. Objectif : «Faire en sorte que les universités ne soient plus gouvernées par les syndicats.»
Faux procès. Le rapporteur du texte, Benoist Apparu (UMP), renvoit dos à dos libéraux et socialistes. Tous font, selon lui, un faux procès à ce texte qui ne dérangerait que parce qu’il bouscule les corporatismes : «Nous proposons de transférer aux présidents d’université un pouvoir aujourd’hui partagé entre le ministère d’une part et les facultés d’autre part. Les représentants des disciplines ont peur d’être dépossédés.»

Le numéro un du syndicat étudiant Unef, Bruno Julliard ne dit pas autre chose. Ceux qui combattent la réforme le font souvent, constate-t-il, pour «défendre le mandarinat». C’est pourquoi, malgré les critiques qu’elle formule, l’Unef a choisi de ne pas s’associer aux syndicats qui réclament le retrait pur et simple du texte. A en juger par les pétitions qui circulent dans les très conservatrices facultés de droit mais aussi dans celles de sciences humaines, réputées de gauche, Benoist Apparu se dit que le gouvernement n’a pas grand-chose à craindre des «alliances contre-nature» qui se nouent contre cette réforme.
lu dans libération

si l'attitude de l'UNEF n'est pas inadmissible !!!!! :headonwall:
au moins on peut les placer à la gauche de la droite
le drame c'est que sans leur nom, ça va être très dur de lancer un mouvement à la rentrée, il 'y aura aucun relais médiatique
south hamerik1
 
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Message par Tom » 25 Juil 2007, 11:52

a écrit :si l'attitude de l'UNEF n'est pas inadmissible !!!!! 
au moins on peut les placer à la gauche de la droite
le drame c'est que sans leur nom, ça va être très dur de lancer un mouvement à la rentrée, il 'y aura aucun relais médiatique


Il font les girouettes depuis le début donc on verra bien où ils en seront à la rentrée.
Effectivement cela va être très dur, de toute manière avec ou sans l'UNEF, mais ce qui est primordial c'est de commencer dès la rentrée et de faire absolument le lien étudiants/travailleurs notamment en montrant le lien entre les différentes attaques (professionnalisation/autonomie, droit de grève etc etc).
Tom
 
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Message par Gaby » 25 Juil 2007, 12:03

(Tom @ mercredi 25 juillet 2007 à 12:52 a écrit : ce qui est primordial c'est de commencer dès la rentrée et de faire absolument le lien étudiants/travailleurs notamment en montrant le lien entre les différentes attaques (professionnalisation/autonomie, droit de grève etc etc).
Le lien dont tu parles, tant que c'est au niveau des idées, c'est une évidence, tout le monde pense professionnel quand il étudie. Mais dans l'action, faire vraiment un "lien" avec les travailleurs, ca ne l'est pas pour tous.
Gaby
 
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Message par Tom » 25 Juil 2007, 12:09

a écrit :Le lien dont tu parles, tant que c'est au niveau des idées, c'est une évidence, tout le monde pense professionnel quand il étudie. Mais dans l'action, faire vraiment un "lien" avec les travailleurs, ca ne l'est pas pour tous.


Evidemment que je parlais de faire le lien dans l'action, en vue de construire une mobilisation ou pendant la mobilisation. Par exemple, à la FSE Limoges on fait régulièrement le lien dans nos tracts avec les différentes attaques menées, on fait des campagnes communes avec la CGT Jeunes sur la professionnalisation etc. Sur la question du service minimum et du rassemblement du 31 juillet on appelle évidemment à les rejoindre. C'est aux syndicalistes étudiants d'expliquer que "étudiants-travailleurs, un seul ennemi-un seul combat" et le message passe assez bien. Je pense que cette question est primordial si on veut un mouvement conséquent.
Tom
 
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Message par Gaby » 25 Juil 2007, 21:32

Ca y est, c'est voté, bientôt adopté.

a écrit :L'Assemblée nationale vote l'autonomie des universités
LEMONDE.FR avec AFP | 25.07.07 | 20h18  •  Mis à jour le 25.07.07 | 20h53


L'Assemblée nationale a adopté mercredi 25 juillet, le projet de loi de la ministre de l'enseignement supérieur, Valérie Pécresse, qui prévoit la généralisation de l'autonomie budgétaire et de gestion des ressources humaines à toutes les universités d'ici cinq ans. Le texte adopté par le Sénat le 12 juillet a cependant été légèrement modifié par les députés sans pour autant remettre en question l'esprit du projet de Mme Pécresse. L'UMP et le Nouveau Centre ont voté pour, les groupe socialistes et Gauche démocrate et républicaine (GDR, PCF et Verts) contre.


Revenant au texte initial, les députés ont supprimé la possibilité, donnée par les sénateurs, pour des personnalités extérieures de participer à l'élection du président d'université. En revanche, ils ont maintenu un droit de regard de l'Etat dans la création des UFR (unités de formation et de recherche), désormais dévolue aux universités.

Par ailleurs, contre l'avis de Valérie Pécresse, un amendement de Claude Goasguen (UMP), réservant la fonction de président d'université aux seuls enseignants-chercheurs, a été adopté à l'unanimité, barrant ainsi la voie à l'élection de non-universitaires.

Dès le début de l'examen du texte, l'opposition SRC (Socialiste, radical et citoyen) et GDR (Gauche démocrate et républicaine - PCF/Verts) avait protesté contre "les pouvoirs exorbitants des présidents d'université". Elle avait aussi demandé, en vain, des garde-fous sur le recrutement de contractuels "pour qu'ils ne se substituent pas aux enseignants-chercheurs statutaires".

"Le texte sort enrichi du débat à l'Assemblée. Je pense que cette réforme fera date. Cette loi ce sera la première arme contre l'éche de nos étudiants", a pour sa part déclaré Valérie Pécresse. "C'est une réforme nécessaire pour nos étudiants, pour nos universités et pour la France", a-t-elle conclu.

Le texte sera soumis à l'examen d'une commission mixte paritaire (7 députés et 7 sénateurs) pour une adoption définitive, le 1er août.
Gaby
 
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Message par south hamerik1 » 30 Juil 2007, 17:17

lu sur le site de marianne
a écrit :
Julliard tombe dans le piège de l'ouverture sarkozyste
Personnalisant à outrance le syndicat qu'il préside, Bruno Julliard a joué les conciliateurs sur la réforme des universités pour préparer son avenir politique… Et est tombé dans le piège tendu par le président de la République.


« Le congrès m'a élu à l'unanimité. » Ainsi se défend Bruno Julliard quand on lui parle du fait qu'il est critiqué pour trop personnaliser sa gestion de l'UNEF. Egérie de la cause étudiante depuis la campagne contre le CPE, ce syndicaliste de 26 ans s'est une fois de plus fait remarquer pendant ces semaines de débat sur la réforme des universités en sortant de l'opposition au texte présenté par Valérie Pécresse. Or, Nicolas Sarkozy n'est pas étranger à ce fait : le point litigieux dont l'UNEF a salué la suppression (la sélection à l'entrée des masters) avait été ajouté par le président de la République et retiré par lui-même quelques semaines plus tard ! Bilan public de ce petit pas de deux : Sarkozy passe pour un homme souple et Julliard apparaît comme un habile négociateur. Vous avez dit gagnant-gagnant ?

Jouer l'endormissement
« On ne peut pas s'enfermer systématiquement dans cette obligation d'aller au front, explique Caroline de Hasp, secrétaire générale de l'UNEF. Le calendrier ne favorise pas la mobilisation étudiante. » Cela, le président de la République le sait bien, qui avait déjà été l'artisan du retrait du CPE qui avait propulsé Julliard à la une des médias. « Le gouvernement a manœuvré de façon à créer une division parmi les syndicats et faire passer son projet de loi en été, analyse Jean Fabbri, secrétaire général du syndicat d'enseignant Snesup-FSU. C'est une tentative d'endormissement : en remettant le débat sur la sélection à l'entrée du master à plus tard, ils amadouent les étudiants. »

Et les syndicats d'enseignants ont des raisons d'être en colère : lors des tables rondes organisées par Sarkozy, seuls les étudiants étaient invités. Le déjeuner du 10 juillet qui les avait réunis, aurait même été le lieu d'une déclaration peu diplomate du président : « Les profs sont des réacs », aurait-il lâché. Phrase immédiatement relevée et approuvée par… Bruno Julliard. « Il est dans un rapport de séduction incroyable avec Sarkozy, » assure-t-on dans le milieu syndicaliste. Un article de Libération paru le 24 juillet a d'ailleurs fait du bruit. On y lisait l'enthousiasme de Bruno Julliard face à Valérie Pécresse sur le ton de : « La rupture entre la jeunesse et la droite, elle ne s'y résigne pas. » L'embarras était tel que l'UNEF a ressenti le besoin de pondérer ces propos, assurant qu'ils avaient été déformés. Ce qui ne semble pas être l'avis au sein du syndicat où l'on rapporte qu'il « s'est sacrément fait taper sur les doigts. »

Une ouverture moins exigeante
Ceux qui imaginent Julliard à un poste de haut-commissaire seront néanmoins déçus. L'ouverture des sarkozystes vers la société civile n'a rien à voir avec celle qui s'opère vers les socialistes. Ainsi, l'économiste Jean-Paul Fitoussi qui a intégré un groupe d'expert, ou Jacques Attali, nouveau responsable d'une commission sur les freins à la croissance, sont appelés à l'invocation de l'intérêt général. Le second a même insisté sur le fait que ses travaux pourraient être utiles à gauche comme à droite. Pas besoin d'aller à un congrès de l'UMP pour jouer le jeu de l'ouverture. Qui plus est, en touchant au cœur l'un des principaux syndicats étudiants, Sarkozy joue les mouvements les uns contre les autres, comme il le fait au parti socialiste. En un mot comme en cent : diviser pour mieux régner.

Julliard est-il socialiste ?
Julliard candidat à l'ouverture ? Le président de l'UNEF balaye évidemment l'hypothèse, repoussant à la fin de son mandat toute ambition politique. L'indépendance dont il se réclame ne semble cependant convaincre personne : « Bien sûr qu'il est socialiste ! S'exclame un membre du Mouvement des Jeunes socialistes (MJS). Il a sa carte au PS depuis longtemps. » Razzye Hammadi, président du MJS ajoute: « Bruno participe à toutes les réunions du mouvement Transformer à gauche. » Le principal intéressé dément fermement l'un comme l'autre : « J'étais contre la création de ce groupe de réflexion », soutient-il. L'ambition du jeune homme est cependant reconnue par tous. Malek Boutih et d'autres ont jugé tout à fait naturel le bond de la société civile au parti socialiste. Le débat sur les universités est peut-être le petit coup de pouce dont le jeune syndicaliste a besoin pour se lancer.

Vendredi 27 Juillet 2007 - 16:09
Sylvain Lapoix et Johanna Nezri

:dead:
south hamerik1
 
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Message par Obi » 31 Juil 2007, 17:38

pffffffffffff ça me dégoute tout ça !!!

et nous on peut rien faire pour l'instant, ah quand je pense que j'ai voté pour des représentants de l'UNEF vous vous rendez compte?

Plus jamais, j'ai compris le message.

J'éspère une bonne mobilisation pour briser ces lois injustes, et encore les cariéristes comme Julliard reviendront "dans" le mouvement pour tenter de l'arrêter. Je suis sûr que Julliard pense qu'il est intelligent, bon négociateur et peut-être qu'il se flatte d'être bon manipulateur.

C'est l'inaction qui me révolte, la non réactivité générale.

Vous pensez vraiment que les travailleurs vont bouger alors que les élections ont montrés qu'une majorité d'entre eux s'est laissé abusé par NS?
Obi
 
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