Préparation du mardi 20 novembre

Message par Lacenaire » 17 Nov 2007, 15:24

(Wapi @ samedi 17 novembre 2007 à 15:17 a écrit :
(Lacenaire @ samedi 17 novembre 2007 à 01:01 a écrit : Gérard Aschiéri entre en piste et met en garde contre toute volonté de convergence Cheminots-Fonctionnaires-Etudiants le 20, ce qui semble de plus en plus inéluctable.

Peux-tu donner la source STP ?

(Lacenaire @ samedi 17 novembre 2007 à 01:01 a écrit : Gérard Aschiéri entre en piste et met en garde contre toute volonté de convergence Cheminots-Fonctionnaires-Etudiants le 20, ce qui semble de plus en plus inéluctable.

a écrit :Peux-tu donner la source STP ?


France-Info, hier soir à 20H15. Déclaration d'Aschiéri ou il s'oppose à toute forme de convergence entre cheminots et Grévistes de la FP ( à peu près cela: Ils n'ont pas besoin de nous et nous n'avons pas besoin d'eux. Je ne garantis pas à la virgule près, mais nous nous sommes compris je l'espère.
Lacenaire
 
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Message par Nestor » 18 Nov 2007, 15:27

Si j'ai bien compris, mardi seront réunis dans une manifestation les cheminots, les enseignants et les universitaires.
Dans ce cas y a-t-il des regroupements de lycée en tant que futur universitaires et concernés par les suppressions de postes dans l'éducation nationale?
Nestor
 
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Message par Leonid » 18 Nov 2007, 15:51

Les militants JCR sur les lycées nous informent qu'au moins quelques lycées seront bloqués mardi 20 et il y aura des manifestants lycéens ce jour la. Il en est de même en province. Pas des masses, mais sans doute une dizaine si le compte est bon pour l'instant. Cela nous laisse quelques jours pour augmenter ce nombre.
Leonid
 
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Message par redsamourai » 18 Nov 2007, 18:01

si ils bloquent les lycées comment vont-ils aller à la manif? :huh:
redsamourai
 
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Message par Leonid » 19 Nov 2007, 10:43

Les lycées concernés seront bloqués le temps de rassembler les troupes devant le lycée, obtenir une banalisation sans doute, pour ensuite partir en manifestation. C'est le scénario le plus probable.

La journée du 18 octobre, quelques dizaines de lycéens ont débrayés sur la région parisienne, sans bloquer.

Aujourd'hui même, des AG sont organisés sur plusieurs bahuts. La tension risque vite de monter d'un cran dans la semaine qui suivra sur les lycées.
Leonid
 
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Message par BuenaventurayAndreu » 20 Nov 2007, 19:13

5 à 700 000 manifestants sur tout le territoire , dont 70 000 à Paris
30 % des fonctionnaires en grève , dont 65 % chez les enseignants
3 usines Yoplait en débrayage , des arrêts chez Renault
BuenaventurayAndreu
 
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Message par ianovka » 20 Nov 2007, 19:57

Chérèque a été obligé de sortir de la manif sous la huée des manifestants.
"Le capital est une force internationale. Il faut, pour la vaincre, l'union internationale, la fraternité internationale des ouvriers." Lénine
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Message par abounouwas » 21 Nov 2007, 17:38

Les Echos 21 novembre 2007
a écrit :
Estimant le mécanisme des heures supplémentaires insuffisant, la présidente du Medef estime que la suppression de la durée légale du travail permettrait d'augmenter le pouvoir d'achat

Pour la présidente du Medef, Laurence Parisot, le problème de pouvoir d'achat est  "totalement objectif". "C'est vrai qu'il y a un problème de pouvoir d'achat", a-t-elle déclaré devant l'Association des journalistes économiques et financiers (Ajef). Pour Laurence Parisot, "le pouvoir d'achat est une résultante d'une croissance au niveau minimum". "Donc, la vraie question n'est pas comment je contribue à ce qu'il y ait plus de pouvoir d'achat, mais comment je contribue à ce qu'il y ait plus de croissance", a-t-elle affirmé.

"Pour moi, il y a deux axes principaux à travailler : comment on fait pour baisser les prélèvements obligatoires sur les entreprises, c'est prioritaire, et deuxième chose, n'est-il pas temps d'aller plus loin sur la question de la durée du travail", a-t-elle ajouté. "Tout le monde" peut remarquer "que le mécanisme des heures supplémentaires n'est pas suffisant". Les dispositifs permettant déjà aux entreprises de travailler au-delà de 35 heures par semaine sont "rébarbatifs" et l'utilisation du contingent d'heures supplémentaires autorisé (220 heures/an) est "très lourd, car il supposait des négociations de branche", a-t-elle insisté. "Ma préconisation, c'est de rendre les choses beaucoup plus simples en balayant tous ces mécanismes très complexes, et en revenant à la détermination du seuil de déclenchement des heures supplémentaires, branche par branche, ou entreprise par entreprise", a-t-elle dit.

Laurence Parisot a indiqué ne pas savoir ce que le président Nicolas Sarkozy pourrait annoncer de manière imminente pour le pouvoir d'achat. "Je sais autour de quoi certains ministres réfléchissent depuis quelques temps et la question de la durée du travail est un axe de réflexion", a-t-elle dit.

Depuis le passage aux 35 heures, les entreprises peuvent faire évoluer le nombre d'heures travaillées au gré de leurs besoins, dans le cadre d'un accord d'annualisation du temps de travail, conclu au niveau de l'entreprise. Ce qui explique que certains salariés se plaignent de ne plus faire d'heures supplémentaires, en général mieux payées. "Supprimer la durée du travail, ce n'est certainement pas tomber dans je ne sais quelle forme d'esclavagisme", a justifié la présidente du Medef. Selon elle, "dans certains domaines, il suffirait parfois de peu de choses, simplement de passer de 35 heures à 36 heures".

"Quand je dis qu'il faut supprimer la durée légale, c'est une nuance importante par rapport à une autre solution: revenir aux 39 heures, je ne dis pas ça", a-t-elle affirmé. "La durée optimale chez Ifop, France 2, Renault ou Bouygues, n'est peut-être pas la même, et il y a des périodes de l'année (...), des conjonctures où il faut donner le coup de collier, et après on va retrouver des gains de productivité et revenir à 36 ou 35 heures. C'est cette souplesse là qui nous manque", a-t-elle plaidé.
abounouwas
 
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Message par yannalan » 21 Nov 2007, 18:16

L'obligation de payer les gens est aussi un frein à mon avis !
yannalan
 
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