Wesh les amis !!!
Bien ou bien ?
Pour en revenir au sujet, Un témoignage, récupéré là :
http://forums.myspace.com/t/3745022.aspx?f...rums.viewthreadDes fois, il y a des trucs intéressants, mais la plus part ressemble à La Chambre bleue, plein de confusion, d'amalgame douteux.
a écrit :
Me ......... A l'attention de
à :
le
Monsieur,
Suite à notre entretien téléphonique de ce jour; vous trouverez ci-joint les
éléments qui font qu'aujourd'hui et ce depuis le 27 Septembre 2007, je suis dans l'inc-
capacité de me rendre à mon travail.
En effet,étant sous traitements depuis le 27/09/07, date à laquelle je me suis
rendue consulter pour des troubles du sommeil, de manque d'appétit, accompagnés de
fatigue et de repliements sur moi meme,aussi bien dans le cadre de mon travail, ce qui
est tout à fait logique d'après mon Médecin,ainssi que sur ma vie privée.
Suite à des accusations de ma Direction en ce qui concernait le grève eventuel-
-le, menée par moi exclusivement, d'après les propos du Directeur , ce qui
est totalement faux, on est venu me trouver à plusieures reprises , il est vrai que j'assume
le fait que je fus toute autant partisante de celle-ci.En aucun cas ma situation financière
ne justifiait ma motivation à demander des renseignements auprès de ,et non
plus à mettre en place une grève;étant membre du C.E et travaillant au sein meme du
magasin, les personnes désireuses d'avoir des renseignements, se tournaient plus facilement
vers moi ; je n'ai incité personne .
A partir du 21 septembre 2007, le directeur, a convoqué les salariés par
groupe de 7/8 personnes afin de mettre en garde toute personne partante pour la grève,
que celle-ci ne serrait pas sans concéquence, que la prime de gratification(qui n'était tou-
-jours pas versée après 2 mois d'attente des salariés)ne serait pas versée aux personnes ins-
-crites sur la liste des gens que j'avais dénoncés! Totalement faux, si aujourd'hui je suis la
seule à etre blamée, c'est qu'en effet je n'ai jamais voulu donner les noms des salariés par-
-tisants du mouvement; une préssion énorme a été faite sur les salariés; MR X
a demandé à mes collègues de choisir entre ME ..MOI.... ou LECLERC! Tout ceci
s'étant passé pendant mon absence du 21/09/07 au 23/09/07, periode a laquelle j'étais en
congés. Lors de ma reprise le lundi 25 septembre 2007, je suis passée comme tous les jours
devant la ligne de caisses ou il est pour moi important de saluer mes collègues lors de mon
embauche; mais ce jour la tout était différent, les filles se retournaient,ne répondant pas à
mon salut, l'ambiance était tendue...je me suis rendue dans mon rayon ou ce jour la une
commerciale avait rendez-vous pour nous faire choisir du textile femme, chose que je faisais
à chaque fois qu'elle venait, je me rendais à son camion sur le parking du magasin et je choi-
-sissais en fonction du besoin; ce jour la mon Responsable, MR .Z...., revenait lui d'une
semaine de congés; il est venu vers moi me saluer et m'a dit:
" vous restez en cabine, il y a des produits à anti-voler, je vais aller au camion!"
Stupéfaite et devinant ce qui se passait vu le visage de mon Responsable je lui ai donc demandé
si il y avait un problème pour que je ne puisse plus m'occuper de mon rayon, celui-ci
m'a rétorqué que lui aussi avait le droit de choisir!Je me retrouvait donc à n'avoir aucun
contact avec mes collègues les plus proches et reduite à faire uniquement de la préparation
à la mise en rayon.
Ce meme jour , en cachette certaines et certains de mes collègues sont venus me voir en
m'expliquant la situation ci-dessus indiquée, et qu'en plus MR .X.. avait ordonné
qu'on ne me parle plus ! J'ai alors compris le comportement de mes collègues. MR .X...
avait fais de moi une pestiférée, toute personne vue en ma compagnie était contactée par télé-
-phone , par son Responsable ou par MR..X....
Viens ensuite la démission d'une de mes collègues, qui pendant un peu plus de
2 ans a fait parti du rayon textile; à plusieures reprises le ....a voulu mettre fin
à son contrat afin de la remettre en caisse sachant très bien qu'elle finirait par démissionner;
à l'arrivée du nouveau Responsable,..., .....C... , ma collègue
a été sans çesse écrasée par des repproches venant de notre Responsable ainsi que par
MrX...., ayant une complicitée et une amitié avec C..., je me retrouvais régulièrement
à prendre sa défense; en date du 27 Juillet 2007, MR X et MR Z avaient
quelques mois auparavant pris la décision de remettre C... en caisse; c'était assez dur pour
elle comme pour notre équipe de subir ce nouveau départ! C.. est partie en vacances, 3
semaines après son affectation en caisse était effectif! Passe quelques semaines; nous arrivont
aux environs du 15/17 Septembre; C.... donne sa démission!Sans raison apparente, sans
qu'elle est trouvé un nouveau travail!Pourquoi démissionner au moment ou nous pourrions
obtenir ce que nous demandons par le biais d'un eventuel mouvement de grève?
Carole m'évite, j'apprend par la suite, que MR X l'a convoquée pendant ses congés,
et après avoir recu sa démission, il en ressort qu'ils restent ensemble accompagnés de
MLLE Y , Comptable, pendant 2 heures.
Suite à cela, le vendredi 22 Septembre 07, une collégue me téléphone en m'apprenant que
suite à la discution de ME C.... et de MR X , une nouvelle
fait le tour du magasin"C'est a cause de moi . que C.... a démissionné".
"C... a été témoin que MOI a sauté au cou de MR X pour lui
faire la bise". Je conteste tous ces propos complétement incohérents!
En date du 8 Décembre 07 , une collégue m'apprend que je suis de nouveau
salie par MR X, j'aurai trompé mon mari....
Que dois-je faire pour que toute cette machination s'arrete! J'ai perdu toute
crédibilité au niveau de mon travail, auprès de mes collègues, et maintenant MR X
se permet de mettre en doute mon role d'épouse fidèle et de maman réspectable!
Les limites de ma tolérance sont largemment dépassées; en plus de me recon-
-struire psychologiquement, je dois me battre pour accuser tous ces coups et ne pas avoir honte
de tous ces propos diffamatoires!
Me sentant complétement humiliée, je ne vois pas d'autres solutions que de
m'en remettre à la justice, n'ayant plus le courage de confronter tout ca.
Voilà, voilà ...
A+