Oui, pas de désaccord à ce propos mais je préfèrerais que l'on débatte du fond plutôt que des dates...(en cherchant bien, je pense même qu'on pourrait même remonter plus tôt encore...).
Le fond : de quoi parle-t-on quand on parle de réformiste ? Cf le dernier éditio de Gluckstein et l'article de J.P.V. dans le LO de cette semaine. L'un fait un article sur le sens "premier" du mot "réformisme", sous entendu : il existerait un "bon" et un "mauvais" réformisme, l'autre nous démontre, selon moi, qu'à partir du moment où on se déclare réformiste, on a fait un pas en avant vers la trahison...
