D'accord avec Pelon : des débats politiciens fleurissent, qui n'ont pas grand chose à voir avec les intérêts des travailleurs.
Que le "non" soit populaire n'indique pas que la conscience prolétarienne se renforce, ni là-bas ni en Europe. Cela peut même vouloir dire au contraire que le nationalisme de droite est bien ancré, que se renforcent la religion chrétienne et l'opposition à la liberté pour les femmes d'accèder à l'avortement librement comme partout en Europe sauf en Irlande.
Si des camarades savent mieux que moi quelle est la proportion des idées nationalistes et réactionnaires dans la campagne en Irlande, c'est interessant.
Voilà ce qu'écrit
la Fraction de Lutte Ouvrière a écrit :Non c'est non !
Le projet de constitution européenne avait été retoqué après la
victoire du « non » au référendum en France. Les gouvernements ont
donc concocté un nouveau traité pour faire la même chose sous un
autre nom. Cette fois, le gouvernement français s'est bien gardé de
demander leur avis aux électeurs mais le traité vient quand même
d'être rejeté par un référendum en Irlande.
Parions que la troisième fois ils ne feront même plus semblant de
consulter qui que se soit... en toute démocratie évidemment.
Le gouvernement français s'est bien gardé d'organiser un référendum, mais s'il l'avait fait, je ne me serais pas plus déplacé pour le petit traité que pour le gros.
Quant à dire "non c'est non" comme le disent les , à mon goût c'est carrément de la petite politique :whistling_notes: .