(El convidado de piedra @ lundi 9 juin 2008 à 06:58 a écrit : [
L'héritage culturel et politique donc de Chiang Ching parle mieux que ses discours (occultés naturellement) ou ce qu'elle a pu faire de sa vie (renoncer à une carrière cinéma pour aller rejoindre les communistes à Yénan).
Avant de colporter les ragots, calomnies et insultes de la clique bourgeoise et révisionniste on devrait, si on a encore un peu de decence et d'esprit communiste, s'interroger sur la vie et la mort d'une grande révolutionnaire.
Je vois que tu ne peux pas t'empêcher de placer des considérations oiseuses sur "ceux qui colportent"...
Il ne suffit pas d'avoir un ton catégorique pour être crédible.
Il ne suffit pas d'avoir subi la répression pour être un révolutionnaire. Quelquefois (rarement) les chiens sanglants de la bourgeoisie reçoivent une correction de la part de leurs maîtres.
Quant à Madame Mao (dénomination bourgeoise), il faudra un peu plus que sa situation de martyr pour la sortir de son rôle.
Voilà un vrai travail à faire :réhabiliter une révolutionnaire injustement méprisée.
( Le Convive a écrit :Masi encore, cela pour eux et chez eux, jamais en destination du public choisi par Chiang Ching, les ouvriers et les paysans. Et pas trop souvent non plus, comme une "curiosité".Pas fous les bourges.
En Europe ou en Amérique, c'est à destination d'un public bourgeois et friqué donc. Mais en Chine... L'Opéra de Pékin est-il lui aussi réservé aux gens friqués ou est-il accessible ?
Y'a-t-il même des représentations gratuites ?
Je n'en sais rien... Quel est le public de ces ballets depuis Mao ? Et il y a des versions cinémas...
(A ce propos, un celébre équidé de partage sur le net offre au téléchargement en deux parties le "détachement rouge féminin"(version de youtube)qui me semble être un mélange de ballet sur scène et de ballet version cinéma). Le tout sans décalage de son)