a écrit : et moi ... avec ma confiance dans ce militant de LO, qui en est à son troisième mandat de conseiller municipal.
Moi aussi
a écrit :La majorité municipale (PC en tête) , elle sait très bien à quoi s'en tenir.
ça oui !
(interluttant @ vendredi 5 décembre 2008 à 10:29 a écrit :Artza, au sujet du NPA, la discussion est interressante, mais je pense qu'il y a un autre endroit du FALO pour en discuter. Une réponse brève cependant : le NPA est infiniment plus proche de LO que la gauche, et il n'est pas relié à de gros appareils réformistes comme cette "union des gauches" avec qui LO a fait équipe pour entrer dans la majorité municipale de Vierzon.
(artza @ vendredi 5 décembre 2008 à 11:07 a écrit :
Pour ce qui est de l'indépendance avec les "appareils" pour moi il n'ya pas de solution de continuité entre la LCR et des directions syndicales bureaucratiques (SUD, FSU et quelquefois CGT
Je suppose que tu veux dire le contraire, à savoir qu'il n'y a pas de rupture ou de discontinuité etc entre la LCR et ces appareils syndicaux ?
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(Vérié @ vendredi 5 décembre 2008 à 11:44 a écrit : solution de continuité
(Office québécois de la langue française a écrit :Solution de continuité
La locution solution de continuité signifie « rupture, interruption qui se présente dans la continuité de quelque chose de concret ou d’abstrait ». Elle désigne donc un point de rupture, une séparation.
Exemples :
- En construction métallique, le terme joint désigne toute liaison établie dans une structure qui présente une solution de continuité.
- Toute solution de continuité dans le processus entraîne l’inconfort du malade.
- Le traitement doit être appliqué sans solution de continuité pendant quinze jours.
- Dans chaque acte de la pièce, les événements se déroulent sans solution de continuité.
La locution solution de continuité est attestée depuis 1314. Elle appartenait alors au vocabulaire de la chirurgie et désignait les plaies et les fractures. Par analogie, elle s’est par la suite dite de choses concrètes, puis abstraites, respectivement aux XVIe et XVIIe siècles, pour signifier « séparation ».
L’utilisation de cette locution dans le sens de « manière d’assurer la continuité » est à l’origine de contresens fâcheux. Pour comprendre l’origine de cette erreur, il faut se reporter au sens du mot solution. Il faut se rappeler que même si ce nom correspond souvent au verbe résoudre (comme dans la solution d'un problème ou d'une énigme), il peut aussi correspondre au verbe dissoudre (comme dans une substance en solution ou une solution liquide). Solution a été emprunté au latin classique solutio, qui signifiait notamment « explication », mais aussi « dissolution, désagrégation ». Le verbe latin solvere, quant à lui, signifiait « détacher, délier », sens qui a donné naissance aux extensions « résoudre (dénouer, en parlant d’une difficulté) » et « désagréger, dissoudre ». Par ailleurs, au XVIe siècle, on utilisait aussi la locution solution de mariage, qui signifiait « divorce ».
a écrit :« L'habit, démesurément plissé par devant et par derrière, forma comme une bosse au milieu du dos, et produisit entre le gilet et le pantalon une solution de continuité par laquelle se montra la chemise. »
Honoré de Balzac - L'interdiction
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