(yannalan @ samedi 3 janvier 2009 à 19:24 a écrit : Ottokar était- roi de Syldavie.
Seul un agent bordure peut estropier le nom de l'héroique royaume !
:hinhin:
- pelon
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a écrit :La Bordurie, pays fictif d'Europe orientale dans les Aventures de Tintin et Milou, est depuis toujours l'ennemi de son voisin, la Syldavie. La capitale en est Szohôd (transcription du bruxellois zo-ot, « sot »). Le pays occupa la Syldavie de 1195 à 1275, mais en fut chassé par le baron Almaszout. Depuis, de nombreux conflits opposèrent les deux pays.
Lors des événements narrés dans Le Sceptre d'Ottokar, la Bordurie, de tendance totalitaire fasciste , tente de s'emparer de son voisin en détrônant le roi, mais l'intervention de Tintin l'en empêche.
Après la Seconde Guerre mondiale, on peut penser que le pays devient communiste, sans que ce soit explicite. Les indices les plus probants figurent dans L'Affaire Tournesol, où l'on voit brossé le portrait d'un pays glorifiant à tout propos son dictateur Plekszy-Gladz (dont la moustache évoque celle de Joseph Staline, et dont le nom est calqué sur le Plexiglas®, rappelant de façon parodique le pseudonyme de Staline, directement inspiré par l'acier, cf. сталь en russe, steel en anglais, Stahl en allemand), et où les visiteurs venus de l'Ouest sont en permanence accompagnés de « guides » appartenant à la police secrète. Néanmoins, le salut militaire bordure Amaïh Pleksy-Gladz rappelle par sa consonance germanique le salut nazi Heil Hitler! (ainsi que l'exclamation anverso-gantoise "amaï") ; on peut donc voir dans la Bordurie une caricature du totalitarisme en général, que ce soit l'URSS stalinienne ou l'Allemagne hitlérienne.
La Bordurie, fidèle à sa rivalité héréditaire avec la Syldavie, lui livre une lutte acharnée, et parvient à enlever le professeur Tournesol au nez et à la barbe des agents secrets syldaves eux aussi très intéressés par la dangereuse invention du savant.
Certains observateurs estiment que dans le diptyque Objectif Lune - On a marché sur la Lune, la Bordurie est le pays qui essaye de s'emparer de la fusée lunaire syldave. En tout cas, elle n'y est jamais explicitement nommée.
Plus tard, comme cela sera rapporté dans Tintin et les Picaros, le régime de Szohôd fournira un soutien technique au dictateur du San Theodoros, le général Tapioca, éternel rival du général Alcazar, réfugié dans la jungle avec ses partisans. Le régime tapioquiste adopte alors l'idéologie et l'emblème de la Bordurie. Cela pourrait être vu comme une référence au soutien soviétique à la révolution cubaine.
(interluttant @ lundi 5 janvier 2009 à 19:22 a écrit :Moi, j'ai bon espoir : je pense que si la classe ouvrière, les jeunes, l'une ou les autres dans n'importe quel ordre se bougent, la politique de ce congrès changera : le PS et la gauche trahira, et le NPA et la LCR seront plus ou moins bien dans ou vers la tête du mouvement. En AG et dans le mouvement, on se retrouvera naturellement proche des NPIstes et loin des bureaucrates syndicaux "de gauche".
(interluttant @ lundi 5 janvier 2009 à 19:22 a écrit :
Et alors, on ne dira plus "nous n'avons rien à faire avec le NPA" et "avec la gauche, ayant Sarkozy en face, nous pouvons quelquefois nous arranger".
(interluttant @ lundi 5 janvier 2009 à 19:22 a écrit :
On rétablira par necessité l'ordre des choses , on choisira avec soin ce qu'on fera avec le reste de l'extrême gauche et on (re)prendra des distances claires avec la gauche. On sera "sectaires" avec la gauche, et pas sectaires avec l'extrème gauche.
j'ai bon espoir :roll:
et(texte congrès LO a écrit :Mais ce qui est sûr, c’est que nous n’avons rien à faire dans un tel projet.
(Interluttant a écrit :"nous n'avons rien à faire avec le NPA"
(interluttant @ lundi 5 janvier 2009 à 19:22 a écrit : Et alors, on ne dira plus "nous n'avons rien à faire avec le NPA" et "avec la gauche, ayant Sarkozy en face, nous pouvons quelquefois nous arranger".
faut apprendre à lire : LO ne dit pas qu'elle n'a rien à faire AVEC le NPA, ce qui serait le comble de la stupidité, mais DANS le NPA.
Et l'un dans l'autre, les priorités de LO ne changent pas, et pour l'instant, il est plus facile de se retrouver d'accord avec le NPA qu'avec la gauche. Pour l'instant j'ai dit. Car les naïfs seront perdus demain si le NPA, après sa période très anti-PS pour se construire, se met à la traine de la gauche ou des bureaucrates syndicaux, "de gauche" ou pas.
- Ottokar
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(interluttant @ mercredi 7 janvier 2009 à 21:46 a écrit : et je n'ai rien vu sur ce qu'on pourrait faire AVEC le NPA.
Une banderole commune lors de la manifestation du 29 janvier ? Ou même des slogans communs, avec un peu de volonté, je crois qu'on en trouverait facile 4 ou 5.
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