Qu'il y ait une part d'innée dans les préférences olfactives, il me semblait que ça ne pouvait être remis en cause, notre odorat ayant une fonction importante dans la reconnaissance des aliments sains (ou au contraire périmés) qui nous sont nécessaires.
Par ailleurs, je ne comprends pas du tout ça :
a écrit :En effet, si la "valeur" de l'odeur est prédéterminée par la structure de la molécule odorante, cette dernière doit comporter une information induisant le choix. Partant de là, hommes et souris, confrontés à une même odeur, devraient réagir de la même manière.
"L'information induisant le choix" n'induit certainement pas à tous les coups le même pour la souris et l'homme !
Une information induisant un choix, certes. Mais traitée différemment par des espèces différentes.