
Maintenant effectivement les militants de Lo ont d' autres chats a fouetté qu'aller se perdre la dedans!
(ulm @ lundi 9 mars 2009 à 18:14 a écrit : Un petit nombre de militants qui se presentent comme Troskiste (et ce sont les faits qui tranchent pas une discussion sur internet) sont parti au NPA (la Fraction, cri ce ne sont pas les moins pretentieux) ou ils vont défendre des idées de gauche, ecolo et spéciste et autres.
Pardon ?
:33: :33: :33: Mais qui et quand les dirigeants du NPA comme de la LCR se sont ils présentaient comme ça peut être entre 1969 et 1974 mais ça fait un bail !a écrit :ulm Ecrit le lundi 9 mars 2009 à 17:17
je crois qu' il y a confusion Les dirigeants de la LCR(npa) se presentent toujours comme d' authentiques troskistes
a écrit :Absolument pas.
La direction de la ligue aspirait à se débarasser de sce fardeau depuis presque 20 ans.
Voir multiples déclarations, par exemple Krivine déclarant à la chute de Ceausescu" comment peut-on se réclamer du communisme, aujourd'hui?", et la majorité de la ligue "direction" incluse votant le rejet de l'étiquette communiste et autres déclarations sur "l'inutilité" du trotskysme après la chute du mur.
La répudiation volontairement médiatisée de la dictature du prolétariat.
La direction de la LCR a tourné le dos à la révolution prolétarienne, à la prise du pouvoir.
C'est tout, il faut en prendre acte et bon vent.
a écrit :…"La logique du système invalide les prétentions de le moraliser, de le réguler ou de le réformer, de l'humaniser, qu'elles soient sincères ou hypocrites. La logique du système contribue par là même à créer les conditions de son renversement, d'une transformation révolutionnaire de la société, en démontrant quotidiennement à quel point il est vrai que le bien-être, la démocratie, la paix sont incompatibles avec la propriété privée des grands moyens de production….
En finir avec les crises implique d'en finir avec l'exploitation, donc avec la propriété privée des principaux moyens de production, d'échange et de communication, qui en constitue la base. Le système financier, les services essentiels à la vie, les grandes entreprises devront passer sous le contrôle des salariés et de la population, qui en assumeront la propriété et en assureront la gestion dans le cadre d'une planification démocratique. Libérées de la propriété et de l'appropriation capitalistes, la production et la répartition des richesses pourront bénéficier à la société tout entière. Se nourrir, se chauffer, se loger, se soigner, s'éduquer, se cultiver, se déplacer sont des besoins essentiels qui doivent être garantis pour toutes et tous.
…Nous défendons un programme d'urgence qui, pour répondre aux besoins immédiats, met en question la propriété capitaliste des moyens de production, attaque le capital et ses profits pour augmenter les salaires, les pensions de retraite, les minima sociaux et pour satisfaire les besoins de la population.
Ce programme insiste sur l'appropriation sociale du produit du travail par l'expropriation sans indemnisation des grands groupes capitalistes à commencer par ceux du CAC 40, des services et branches essentiels sous le contrôle des salarié-e-s et de la population.
C'est par le développement et la généralisation des luttes, des grèves généralisées et prolongées que l'on peut bloquer les attaques, imposer des revendications. C'est le rapport de forces issu de la mobilisation qu'on peut bloquer les attaques, imposer nos revendications. Le système financier, les services essentiels à la vie, les grandes entreprises devront passer sous le contrôle des salariés et de la population, qui en assumeront la propriété et en assureront la gestion dans le cadre d'une planification démocratique. Libérées de la propriété et de l'appropriation capitalistes, la production et la répartition des richesses pourront bénéficier à la société tout entière. Se nourrir, se chauffer, se loger, se soigner, s'éduquer, se cultiver, se déplacer sont des besoins essentiels qui doivent être garantis pour toutes et tous.
En finir avec le système capitaliste, suppose à la fois un bras de fer de longue durée, la force du nombre et une rupture avec l'État et les institutions dont il s'est doté, avec les institutions européennes et mondiales au service des classes dominantes.
….Une domination de classe ne peut pas être éliminé par voie de réformes. Les luttes peuvent permettre de la contenir, de lui arracher des mesures progressistes pour les classes populaires, pas la supprimer. En 1789, la domination de la classe privilégiée de l'Ancien Régime n'a pas été abolie par des réformes. Il a fallu une révolution pour l'éliminer. Il faudra une révolution sociale pour abattre le capitalisme.
Elle implique donc nécessairement un changement des rapports de propriété, social et institutionnel, qui rejaillit sur tous les aspects de la vie en société. Notre choix pour y parvenir mise exclusivement sur l'expression et la mobilisation majoritaire. Tout en annonçant clairement à l'avance que nous chercherons à organiser l'auto-défense des travailleurs, pour que le coup d'État militaire et la répression massive qui ont eu lieu au Chili en 1973 ne puissent pas se reproduire. " L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes " (Marx dans Le Manifeste communiste) reste notre boussole. D'une manière générale, ce sont les forces de la réaction qui imposent la violence. Notre choix est celui du nombre, des formes de lutte qui rendent les revendications légitimes et populaires, sans hésiter à sortir du cadre étriqué de la légalité pour obtenir satisfaction, en tenant fermement les piquets de grève, en réquisitionnant les logements vides, en cachant les sans-papiers pourchassés, en désobéissant face à l'intolérable..."
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