Par ces temps durs et incertains, les bourgeois italiens préfèrent rapatriés avec l'aide de l'Etat.
Ce serait 95 G€ (chiffre du gouvernement) qui seraient revenus ou régularisés en échange de 5 % d'impôt, soit même pas 5 G€ dans les caisses de l'Etat surendetté.
A ce niveau, la racaille est bien servie, pas d'amendes bien évidemment, mais des remerciements bien juteux pour avoir échappé au fisc.
Le lumineux ministère de l'économie d'ajouter : "succès extraordinaire". Et : "le temps des paradis fiscaux est fini pour toujours", la concurrence est rude.
Article Le Monde