(1908), Freud qualifie d'a écrit :"La morale sexuelle civilisée et la maladie nerveuse des temps modernes"
TOUTE activité qui n'aboutit pas au coït.a écrit :"activité sexuelle perverse" ("perverser Sexualübung")
Il précise que ces activités
(Gesammelte Werke, VII, p. 163, trad. La vie sexuelle, PUF, 1969, p. 43), qu'elles favorisent l'homosexualité (sic) et handicapent la sexualité dans le mariage (les hommes seront moins puissants, les femmes se montreront frigides et, finalement, maris et femmes renonceront aux rapports sexuels).a écrit : "sont condamnables sur le plan éthique car elles rabaissent cette chose sérieuse que sont les relations amoureuses entre deux être humains à un jeu agréable sans danger et sans participation de l'âme"
Le prototype de cette activité sexuelle "perverse" est la masturbation,
, quia écrit :"substitut de la satisfaction sexuelle qui est loin d'être inoffensif"
, quia écrit :"corrompt le caractère"
a écrit :"prédispose à des névroses et à des psychoses"
Evidemment depuis un siecle la vision de la medecine et de la société sur la masturbation a évolué...
contrairement à celle des Freudiens.
Dolto ne dit-elle pas dans "la cause des enfants" en 1985:
a écrit :
« il est de toute importance que la fille fasse son deuil de ses fantasmes masturbatoires clitoridiens (…) la solution heureuse c’est l’investissement vaginal »
pour les filles Dolto ne voit le salut que dans le pénis..