Sur l'exclusion d'Heloisa Helena du PT

[Barnabé]

Sur le site de la LCR, on peut trouvé la déclaration suivante de DS:

A propos de l'expulsion de la camarade Heloísa Helena
Déclaration de la Tendance Démocratie socialiste du Parti des travailleurs (1)


Le 14 décembre 2003 fut un jour triste dans l'histoire du PT. L'expulsion de parlementaires qui défendent les positions historiques du Parti des travailleurs, y compris les positions adoptées lors de la dernière Rencontre nationale (congrès) réalisée en décembre 2001, qui refusent les changements d'orientation politique qui n'ont jamais été amplement débattues au sein du parti, n'a pas de légitimité démocratique. Cette violence entache l'histoire du parti.
L'expulsion de la camarade Heloísa Helena, membre de la Direction nationale du PT et de sa Commission exécutive, est la plus absurde.
La camarade Heloísa Helena a été la dirigeante du PT au Sénat, faisant preuve d'une attitude brillante et combative. Les position qu'elle a alors défendue au nom du parti sont les mêmes qu'elle continue à défendre aujourd'hui. La camarade Heloísa Helena est à juste titre une des militantes du parti les plus reconnues et jouissant du plus grand prestige, partout au Brésil que dans d'autres pays.
La camarade Heloísa Helena n'a jamais reniée ses engagements fondamentaux en faveur de la classe travailleuse, du peuple brésilien, du socialisme et de l'humanité. Au nom de ces engagements elle a affrontée l'oligarchie du nord-est et s'est engagée de manière décisive dans la construction du parti.
L'expulsion votée est un coup dur contre ce que le Parti des travailleurs représente en tant que parti socialiste et démocratique. Elle met en cause la relation du PT avec les militants de gauche du monde entier.
Du point de vue éthique et politique Heloísa Helena continue a être une militante du PT socialiste et démocratique que nous aidons à construire depuis sa fondation. Démocratie socialiste, cohérente avec les résolutions de sa dernière Conférence, réaffirme la centralité de la lutte au sein du PT pour la reprise d'une orientation socialiste et démocratique. Pour cette raison nous faisons immédiatement appel à la prochaine Rencontre nationale (congrès) contre la décision prise par la Direction nationale de l'expulser et nous demandons son anticipation, avec la convocation d'une Rencontre (congrès) extraordinaire.
La camarade Heloísa Helena continue à militer au sein de Démocratie socialiste. Sa présence dans le PT et dans la DS est une raison de fierté pour nous tous et nous ne nous séparerons pas d'elle.

São Paulo, 15 décembre 2003
Tendance Démocratie Socialiste du Parti des Travailleurs

1. Démocratie socialiste est la section Brésilienne de la Quatrième internationale tout comme la LCR est la section française.

[Mariategui]

Démocratie socialiste, cohérente avec les résolutions de sa dernière Conférence, réaffirme la centralité de la lutte au sein du PT pour la reprise d'une orientation socialiste et démocratique. Pour cette raison nous faisons immédiatement appel à la prochaine Rencontre nationale (congrès) contre la décision prise par la Direction nationale de l'expulser et nous demandons son anticipation, avec la convocation d'une Rencontre (congrès) extraordinaire.
La camarade Heloísa Helena continue à militer au sein de Démocratie socialiste. Sa présence dans le PT et dans la DS est une raison de fierté pour nous tous et nous ne nous séparerons pas d'elle.

C'est des bureaucrates malins. Ils utilisent l'expulsion de Heloisa helena comme tremplin pour demander l'avancement de la seule instance un pue démicratique qui reste dans le PT pour y mener une bataille d'appareil dans ce congrès. Malin, mais des bureaucrates tout de meme. D'une part, on peut remarquer qu'il ne disent rien sur les députés de la tendance MES, certes, il y a eu des coups tordus du MES contre DS, mais n'en rien dire, c'est minable.
Mais ce qui est le plus grave, c'est que DS mène désormais des combats politiques par des moyens bureaucratiques. Leur objectif est de modifier l'orientation de PT pour qu'il fasse après le bonheur des prolo au lieu d'organiser la riposte ouvrière tout de suite et dans les quartiers et les entreprises. La bureaucratisation a bouffé nos anciens camarades trotskystes. Dommage, on m'a dit qu'ils ont été des militants grandioses.

Je vous laisse tirer la morale de l'histoire. Je déprime, je vais aller jouer à la Playstation.

[arnaud]

tu es a la ligue ???
:dry:

encore un inflitré du PT!!

[Mariategui]

Argh .... j'arrete de jouer à la playstation et voilà que je me fais insulter de lamberto. La honte ... alors que je me bats contre des méthodes buraucratiques, rien de plus bureaucrate et "appareilliste" (je viens d'inventer le terme) que le PT.
C'est pas possible ... je n'ai discuté que deux fois avec un militant lambertiste ,et ca c'est mal passé!!!! Peut être que je suis un lamberto qui ne le sait pas, un peu comme le FUR (ah, la vanne gratuite, je commence à me sentir mieux), je vais le consulter avec ma playtation.

[arnaud]

au moins tu as le sens de l'humour!!

desolé pour cette blague vaseuse !!

mais je ne vois pas ce qu'il ya de mal dans ce communiqué


ils en appellent au congres .. je en vois pas ce qu'il ya de mal ???

[emman]

On peut dire ce que l'on veut sur le PT(francais) et ces methodes sans faire dans la calomnie. Rappelons que le PT au moins n'a pas appele a voter Chirac...

[sophie]

Le parti de Lula «purge» ses députés critiques
 


Rio de Janeiro : de notre envoyée spéciale Lamia Oualalou
[17 décembre 2003]



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  L'infidélité se paye cher, au Parti des travailleurs. Ce week-end, trois députés (Luciana Genro, Joas Batista Baba et Joan Fontes) et la sénateur Heloisa Helana en ont fait les frais en se voyant signifier l'exclusion de la formation qui a porté l'ancien metallo Luiz Inacio «Lula» da Silva à la tête du pays il y a un an. Motif : ces représentants de l'aile radicale du PT s'étaient ouvertement prononcés contre la réforme du système de retraites, définitivement adoptée la semaine dernière. «Un intolérable manque de respect à la discipline du parti», a justifié le président du PT José Genoino.





«C'est toute la culture autoritariste héritée du parti soviétique, et qui a modelé l'histoire du PT, qui se manifeste», se désole en revanche Apolonio de Carvalho, l'un des fondateurs du parti. L'ex-deputé Milton Temer va plus loin : «Cette exclusion signifie qu'il n'y a pas d'alternative. Le PT va poursuivre la politique de Fernando Henrique Cardoso (NDLR : le prédécesseur de Lula). En pire, car lui devait nous affronter. Là, il n'y a plus personne.» Dimanche, en apprenant l'exclusion de ses pairs, Milton Temer a déchiré sa carte du parti. «La fidélité sans faille du PT à la politique du gouvernement est absurde, car il n'a pas les mains libres. Toutes les décisions dépendent d'une alliance qui comprend aussi des représentants de l'extrême droite», poursuit-il.





Le bilan d'un an de pouvoir est, pour la gauche du parti, celui d'une succession de trahisons. Le Brésil est devenu l'enfant chéri du Fonds monétaire international (FMI) en allant plus loin que ses recommandations. Les réformes du système de retraites et de la fiscalité, impossibles dans les années 1990 du fait de l'opposition du PT, sont en passe d'être votées. Le credo écologiste du parti a été jeté aux orties pour permettre la culture du soja transgénique, la réforme agraire promise au mouvement des sans-terre est renvoyée aux calendes grecques et le ministre des Finances Antonio Palocci est le plus fervent défenseur de l'autonomie de la Banque centrale, autrefois cauchemar du PT. Le seul, aux dires des militants, à se montrer fidèle à la ligne du parti est le ministre des Affaires étrangères, Celso Amorim, qui n'en est pas membre. Sa constance à s'opposer à la guerre en Irak comme à la constitution d'une zone de libre-échange entre trente-quatre pays des Amériques obéissant au bon vouloir des Etats-Unis séduit.





Le parti tient bon. Les quatre élus exclus se sont promis de créer une nouvelle formation. Mais leur image radicale effraie les militants. Le mécontentement se cantonne aux milieux intellectuels. «Les pauvres oscillent entre le fatalisme et l'espoir que Lula ait opté pour une stratégie de séduction de la classe dominante pour mieux se retourner contre elle demain», analyse Milton Temer.

[sophie]

article tiré du Figaro

[Mariategui]

Ce que je critique dans l'attitude des camarades de DS, c'est justement cette dimension bureaucrate d'appeler à un congrès et de défendre seulement leur chappelle (comme j'ai dis, pas une mention dans le texte des autres exclus, pire encore, la phrase "l'expulsion de HH est la plus absurde" imlique que celle des autres députés l'est moins!!??? Certes, après tout Il ne sont pas DS).

Le congrès est une instance "démocratique", du moins, la plus démocratique qui reste au PT, mais pour citer TRotsky (de mémoire) "On ne peut pas ressoudre des problèmes politiques par des moyens bureaucratiques". Aujourd'hui, le problème est la politique du PT et sa soumission aux intérêts de la bourgeoisie nationale et étrangère (par le biais des instances internationales). Cette soumission n'est pas lé résultat d'hommes plus ou moins mal intentionnés dans la directive du PT, ce n'est pas un problème donc qui sera résolu par un changement de direction. C'est le resultat d'un processus progressif d'integration des directions politiques régionales et fedérales à l'appareil de domination capitaliste (l'état). Désormais, le PT est un parti d'élus dont le sort et la subsistance dépend de leur élection et de leur acceptation par le capitalisme brésilien cmme des "acteurs respectables". Sur beaucoup de point, il y a une communauté d'intérêt entre ses dirigeants d'un parti ouvrier (il le reste à mon avis, par sa composition et par son programme, certes, pas appliqué) et la bourgeoisie.

C'est ce qu'on appelle la dégénerescence bureaucratique. Mais cela n'est pas tout. Le pire pour moi est que, sûrement, les militants de DS sont des gens bien intentionnés mais les moyens qu'ils proposent à la classe ouvrière pour se battre sont un cul de sac. D'ailleurs, ils ne demandent même pas à la classe ouvrière de se battre. Ils cherchent à dominer l'appareil politique du PT pour réorienter l'État vers des politiques redistributives. C'est une conception "substitutioniste", qui ne fait rien pour aider à l'organisation des salariés et anti-démocratique puisque seulement la participation active des salariés peut assurer la nature réellement démocratique d'un gouvernement. Enfin, cette position est une chimère car elle implique de nier le caractère "classiste" de l'État et l'impossibilité de le réorienter, simplement parce que l'État est un dispositif de gestion de la main d'oeuvre integré complètement au système capitaliste. L'état bourgeois est consubstantiel du système capitaliste, il y a des liens organiques entre toute sa cohorte de hauts fonctionnaires et la bourgeoisie. Surtout, l'armée reste et restera le "parti de la bourgeoisie".

Le seul moyen d'avancer vers notre idéal d'une démocratie réelle et vers une transformation de la société est de lutter pour l'oranisation autonome du prolétariat. Ce que DS refuse helàs de le faire pour defendre les luttes d'appareil.

Pour Emman, c'est quoi la calomnie contre le PT? que je sois un sous-marin du PT (et là, on m'insulte à nouveau, pas assez bon pour le PT) ou que je dise qu'il sont bureaucrates et appareillistes? Lorsqu'on voit leurs activités à FO ... enfin ... personne n'est parfait et pour moi, ils sont une des composantes de la gauche communiste révolutionnaire. Sinon....PSSSSSST ... le non appel à voter contre Chirax justifie tout? Il bat sa femme mais au moins, il n'a pas voté Chirac?? Peut être que cette blague t'enervera mais ton commentaire ne valait pas mieux.

J'ajoute les déclaration du MES et celle pu CST En espagnol. Ils partent tout les deux reconstruire une alternative ....

Declaración política de la Corrente Socialista dos Trabalhadores

El día 14 de diciembre del 2003, quedará grabado en la historia del Partido de los Trabajadores como el día siniestro en que la cúpula palaciega y los miembros del directorio que la acompañan, decidieron expulsar a cuatro parlamentarios por el delito de defender las banderas, los compromisos y los ideales con los cuales fue construido el PT durante los últimos 23 años.

Esta actitud fue la gota de agua, lo que demuestra con total claridad el giro irreversible del Partido de los Trabajadores, que se convierte en un partido del orden, aplicador del modelo neoliberal, sirviente de los deseos de los banqueros, de los latifundistas y del FMI. Para aplicar este proyecto, era necesario matar la democracia interna, callando las voces de los que defienden el viejo PT de los orígenes, de los que se niegan a bajar las banderas, de todos aquellos que continúan luchando para defender los intereses de los trabajadores y del pueblo pobre, de los que se niegan a los pactos con la burguesía, de los que continúan defendiendo la necesidad de luchar por un Brasil y un mundo socialista.

Todos los militantes de la Corrente Socialista dos Trabalhadores, salimos con la cabeza levantada acompañando la expulsión de los cuatro compañeros. Así como muchos otros compañeros, consideramos que la expulsión de Babá, Heloísa, Luciana y Joao, es nuestro límite, y quedamos desvinculados del PT, del cual nos desafiliaremos formalmente en los próximos días.

Salimos con la fuerza y el coraje para continuar la lucha, porque sabemos que somos muchos, millares, los que no desistimos, y queremos juntarnos con todos estos compañeros para emprender juntos la tarea de construir un nuevo partido que defienda de forma consecuente las banderas de la clase trabajadora.

Hemos recibido miles de cartas, e-mails, telegramas y llamadas telefónicas de apoyo, solidaridad, fuerza y, sobre todo: de compromisos en incorporarse a la ardua tarea de construcción de un nuevo instrumento político. Más de 6 mil compañeros firmaron la Declaración Política en la cual rechazamos el curso del gobierno Lula, repudiamos las sanciones y anunciamos la intención y la necesidad de construir un nuevo partido de izquierda.

En el mismo día de las expulsiones, importantes intelectuales de izquierda, como Chico de Oliveira, Carlos Nelson Coutinho, y Lenadro Konder, además del ex-diputado Milton Temer, anunciaron que abandonaban el PT, explicitando que no existe ninguna posibilidad del construir una herramienta de transformación continuando en el PT.

Agradecemos a todos los compañeros que nos enviaron mensajes de solidaridad y apoyo. Y, sobre todo, los llamados a no desistir, a seguir juntos.

Continuaremos la recolección de firmas de la Declaración Política hasta el día 10-1-04, cuando haremos una versión impresa con el total de firmas y la distruiremos por todo el país. A los compañeros decididos en asumir la tarea del movimiento por el nuevo partido, les sugerimos que nos ayuden a recolectar firmas y, si fuera posible, a conformar Comités Provisorios del movimiento por un nuevo partido, en su fábrica, ciudad, barrio o centro de estudio. A los que quieran recibir mas material sobre los debates del nuevo partido, les pedimos que nos envien su dirección para poder enviarle textos y folletos impresos vía correo.

El 2003 fue un año difícil, pero de un gran aprendizaje. Identificamos quien está de nuestro lado y quien no. Comprobamos que la coalición con la burguesía llevó a la dirección mayoritaria del partido a capitular frente a los intereses del gran capital. A pesar de estar aislados en el ámbito del Congreso Nacional (Parlamento), no nos sentimos aislados porque permanentemente hemos encontrado el apoyo, la solidaridad y el cariño de miles de trabajadores, que se sintieron representados por nosotros.

Comenzaremos el nuevo año sin penas ni resentimientos, recordando la célebre frase de Spinoza: "Ni reir, ni llorar, comprender". Reiterando nuestro compromiso con las luchas y las necesidades de la clase trabajadora. Como nos escribió el compañero Deilson: "Pasado el tormento, la vida sigue. Estoy con la coherencia de los rebeldes y dispuesto a cerrar filas en un nuevo camino". !Año nuevo, Vida Nueva!

Pará, 16-12-03
Gabinete del diputado Babá
Diputado Federal de Lucha
dep.baba@camara.gov.br

Declaración del MES ante las expulsiones de los parlamentarios radicales

Las expulsiones de los parlamentarios radicales sellan el destino del  PT. El partido da las espaldas a los intereses de la clase trabajadora, del pueblo pobre sufrido que votó a Lula para cambiar el Brasil. El PT no encabezará los cambios que el  Brasil necesita. No hará ni siquiera reformas progresivas  que puedan ayudar en la necesaria acumulación de fuerzas para la conquista de un gobierno de la clase trabajadora, de una sociedad socialista.

Para esto tendría que enfrentarse a los intereses del  gran capital, de las oligarquías, del latifundio. El PT  prefirió aliarse a estos en lugar de luchar  para derrotarlos. El PT está, por tanto, de espaldas al futuro. 

Junto con Luciana Genro, nuestra militante y portavoz, con  Heloisa Helena, Babá y João Fontes, expulsados por no callarse en la defensa de los intereses de la clase trabajadora, el Movimento Esquerda Socialista (MES) se considera por fuera del PT, decide romper y construir una nueva alternativa.

Llamamos a la unidad de todos, que cómo los radicales, no  abandonaron la defensa de las banderas de lucha contra el FMI y el ALCA, por empleo, salario, reforma agraria, que no abandonaron la lucha antiimperialista y socialista, a unir la izquierda consecuente en un nuevo partido. Un partido socialista y antiimperialista, que sea profundamente democrático, no propiedad de parlamentarios caciques, que rescate las banderas históricas de la clase trabajadora y sea una superación del PT, tanto en su programa, en su funcionamiento y en sus concepciones.

Muchos ya están convencidos de esta  necesidad. Otros tantos ya negaron el PT, y otros aún  están por negarlo al no dejarse cooptar. Queremos hacer  este debate con todos, de forma abierta y democrática en un amplio movimiento que siga levantando las banderas que el PT dejó para atrás. 

Reproducimos a seguir la intervención de la compañera Luciana  Genro, realizada en el Directorio Nacional del PT que votó por  55  votos contra 27 las expulsiones de los parlamentarios radicales.  En ese mismo día, después de la votación de las expulsiones, el compañero Roberto Robaina, entonces miembro del Directorio, anunció su renuncia al PT en nombre de todo el MES.  

Porto Alegre, 15-12-03

Donc voilà, l'aile gauche du PT a recu des sacrés coups avce des expulsions et le départ de CST et du MES. DS reste pour mener le combat en interne, tout en s'organisant déjà comme fraction tendant au départ

EDITED 1: quelques données de plus, des intellectuels et des membres fondateurs du PT s'éloignent: Carlos Nelson Coutinho, l'ancien député Milton Temer, le philosophe Leandro Konder, le sociologue, membre fondateur, "Chico" de Oliveira. Déclaration de Temer dans la Folha de sao Paulo : "avec la campagne d'affiliation de masse (de juin à octobre, le nombre d'adhérants au PT a grandi de 29,8%) Temer evalue que, l'année prochaine, la gauche du parti ne representera que 5%du total." Relativisons donc les responsabilités de nos camarades.

EDITED 2: je ne comprends rien maintenant, HH envoie une lettre pour signifier son départ du PT et elle est signé par une dizaine d'autres militants. Ils reccueillent des signatures et parlent de construire un nouveau pôle pour la gauche brésilienne (gauche au en AL, veut dire socialiste, centre-gauche = gauche traditionnelle social-libéral, du moins, c'est comme ca en Argentine). Ils affirment qu'il n'y a plus d'espaces démocratiques à l'intérieur du PT pour la construction d'une alternative anti-capitaliste.