La question nationale

[pelon]

Oui, ne serait-ce que pour la poésie, le son, il ne faut pas que les langues disparaissent.
(Evidemment, une langue, ce n'est pas que cela.)
Moi, j'aime bien les chuintements du brésilien, l'allemand aussi. Bon, je crois que l'on est d'accord. Le patrimoine humain, on le garde, les frontières, on les fout par terre et on trouve les moyens de communiquer tous ensemble. Exempts du chauvinisme, on peut choisir une langue existante comme langue universelle. de préférence pas trop difficile et déjà parlée par pas mal de gens. L'anglais ou le chinois, qu'est ce que vous en pensez ?

[pelon]

Le chinois c'est trop dur... :hum:

Oui, j'y ai pensé mais je ne sais pas ce qu'en pensent les chinois. :hinhin: Dans un premier temps il faudrait peut-être plusieurs langues, 3 ou 4, de telle manière qu'il y en ait au moins une facilement accessible à n'importe qui.

[Pascal]

Chinois pour les peuples de l'extrème-Orient.
                                    Anglais pour les pays d'Europe et d'amérique , ainsi que pour l'Afrique
                                    Arabe pour les peuples du proche-moyen-orient, et pour les peuples africains préférant cette langue.

А по-русский, нет ?

En plus d'être la langue de la Révolution d'Octobre, cela reste une langue internationale de Kichinev à Vladivodstok, et de Mourmansk à Tachkent.

Cela dit, et si le moment de choisir la langue universelle de la République Soviétique Mondiale est peut-être un peu prématuré, la Révolution Russe a été confrontée à la question linguistique : le russe comme langue officielle pour tout le territoire soviétique, et reconnaissance en parallèle des langues locales dans les autres républiques soviétiques (ukrainien, biélorusse, géorgien, arménien, ouzbek...) et même dans les régions et républiques autonomes (oudmourte, tchouke, etc.).

Mais de toute façon, grâce aux progrès de l'enseignement en société socialiste, on parlera tous de façon courrante cinq ou six langues.