(Zdanko @ vendredi 13 août 2004 à 16:37 a écrit :(Valiere @ vendredi 13 août 2004 à 15:29 a écrit : Pour certains il y a toujours des moments difficiles, de crise, où le parti est condamné...Quand un principe est violé une fois, on a ouvert la porte dangereusement pour de nouvelles violations dites justifiées mais qui sont injustifiables.
(Valiere @ samedi 14 août 2004 à 14:38 a écrit : ZDANKO! Un militant révolutionnaire n'est pas un petit soldat mais un intellectuel militant qui analyse et ne craint pas de tirer les leçons du passé... Ce sont les mêmes qui... Prouve le d'abord et surtout si tu es trotskiste tu n'ignores pas que notre mouvement a commis aussi de nombreuses erreurs, la différence avec les staliniens est que nous n'avons jamais trahi la cause, c'est à dire le prolétariat...
Il ne faut pas hésiter à se poser la question suivante : pourquoi aucune tendance interne à une orga trotskiste n'a pu subsister sans se faire exclure...
, effectivement. Mais c'est aussi quelqu'un qui ne doit pas céder aux pressions du moment (vote Chirac, anti-bolchevisme...), quelqu'un qui construise un parti pouvant guider la classe ouvrière dans les périodes de crise qui s'annoncent.a écrit :Un militant révolutionnaire n'est pas un petit soldat mais un intellectuel militant qui analyse et ne craint pas de tirer les leçons du passé...
( Bolchevisme ou stalinisme @ Trostky a écrit : Quant à l'interdiction des autres partis soviétiques, elle ne découlait nullement de quelque "théorie" bolcheviste, mais fut une mesure de défense de la dictature dans un pays arriéré et épuisé, entouré d'ennemis de toutes parts. Il était clair pour les bolcheviks, dès le début même, que cette mesure, complétée ensuite par l'interdiction des fractions à l'intérieur du parti dirigeant lui-même, contenait les plus grands dangers. Cependant, la source du danger n'était pas dans la doctrine ou la tactique, mais dans la faiblesse matérielle de la dictature dans les difficultés de la situation intérieure et extérieure. Si la révolution avait vaincu, ne fût-ce qu'en Allemagne, du même coup le besoin de l'interdiction des autres partis soviétiques aurait disparu. Que la domination d'un seul parti ait juridiquement servi de point de départ au régime totalitaire staliniste, c'est absolument indiscutable. Mais la cause d'une telle évolution n'est pas dans le bolchevisme, ni même dans l'interdiction des autres partis, comme mesure militaire temporaire, mais dans la série des défaites du prolétariat en Europe et en Asie.
Il en est de même avec la lutte contre l'anarchisme. A l'époque héroïque de la révolution, les bolcheviks marchèrent la main dans la main avec les anarchistes véritablement révolutionnaires. Le parti absorba beaucoup d'entre eux dans ses rangs. L'auteur de ces lignes a, plus d'une fois, examiné, avec Lénine, la question de la possibilité de laisser aux anarchistes certaines parties du territoire pour qu'ils y mènent avec le consentement de la population, leurs expériences de suppression immédiate de l'Etat. Mais les conditions de la guerre civile, du blocus et de la famine laissèrent trop peu d'aisance pour de pareils plans. [b]L'insurrection de Kronstadt? Mais le gouvernement révolutionnai
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