(totore @ mercredi 16 août 2006 à 23:24 a écrit : Ma mére elle a vu Napoléon à L'Olympia![]()
Waouh elle a de la chance ta mère
(roudoudou @ mercredi 16 août 2006 à 00:36 a écrit :a écrit :Gaby Non, pas "passe encore" ! La stratégie de Napoléon c'était d'envoyer le maximum de futurs cadavres possibles au front, pas autre chose. Et son courage, tu parles, s'il y en avait un de planqué, c'était bien ce foutu empereur, Hitler de son temps. Tu fais sans doute référence à l'épisode du pont d'Arcole, mais il n'était encore que Bonaparte, commandant de l'armée d'Italie... et déjà, il avait le "courage" d'emmener avec lui des grenadiers qui n'y trouveront rien d'autre que la mort pour la cause d'un autre.
(El convidado de piedra @ mercredi 16 août 2006 à 23:14 a écrit : Demandez ce qui pensait le père de Marx qui vivait en Rhenanie où le code civil ou code Napoléon avait été adopté suite au passage des troupes napoléoniennes.
Le père de Marx pouvait très certainement en parler puisqu'il avait un avantage particulier sur d'autres : les morts ne peuvent pas parler. D'ailleurs ce que son papa en a dit, j'en sais rien par contre je sais ce qu'en ont dit Marx lui-même, Engels, et même Lénine. J'ai pris le temps de chercher rapidement. Tiens, ça par exemple :(Lénine @ à propos de la brochure de Junius a écrit :les guerres de la grande révolution française ont commencé en tant que guerres nationales et elles l'étaient effectivement. Elles étaient révolutionnaires, car elles avaient pour objectif la défense de la grande révolution contre la coalition des monarchies contre‑révolutionnaires. Mais quand Napoléon eut fondé l'Empire français en asservissant toute une série d'Etats nationaux d'Europe, importants, viables et depuis longtemps constitués, alors les guerres nationales françaises devinrent des guerres impérialistes, qui engendrèrent à leur tour des guerres de libération nationale contre l'impérialisme de Napoléon.
Ou encore ça :(Lénine @ la catastrophe imminente et les moyens de la conjurer a écrit :La rénovation matérielle, économique, de la France, à la fin du XVIII° siècle, était liée à une rénovation politique et spirituelle, à la dictature de la démocratie révolutionnaire et du prolétariat révolutionnaire (qui ne faisait qu'un encore avec la démocratie et se confondait presque avec elle), à la guerre implacable déclarée à toutes les formes de réaction. Le peuple entier - et surtout les masses, c'est-à-dlire les classes opprimées - était soulevé d'un enthousiasme révolutionnaire sans bornes : tout le monde considérait la guerre comme une guerre juste, défensive, et elle l'était réellement. La France révolutionnaire se défendait contre l'Europe monarchique réactionnaire. Ce n'est pas en 1792-1793, mais bien des années plus tard, après le triomphe de la réaction à l'intérieur du pays, que la dictature contre-révolutionnaire de Napoléon fit perdre aux guerres de la France leur caractère défensif pour en faire des guerres de conquête.
a écrit :Non seulement Napoléon était un fin tacticien mais aussi un grand strategue et on aurait du mal a trouver un genie comme le sien parmi les militaires de toutes les époques. Toute la tactique des soviétiques dans leur combat contre les armées nazis s'est basée sur les principes napoléoniens, notament l'emploi concentré de l'artillerie et la mobilité. Voir les histoires de la guerre écrite par les soviétiques eux-memes.
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