J'ai maintenant lu cette anecdote plusieurs fois sur internet, toujours de source anglophone.
Malade sur son fauteuil de travail qui fera figure de lit mortuaire, dévasté par les morts de sa femme et de sa fille, Karl Marx s'approche d'une fin certaine. Sa gouvernante lui demande quels seront ses derniers mots. Il lui répond : "Allez, sortez. Les dernières paroles sont pour les imbéciles qui n'ont pas dit assez."
C'est assez terrible et en même temps il fait preuve d'un espoir inébranlable. :marx:
Je ne l'ai encore jamais lu en français. C'est quelque part ?