Sur l'amour (toujours) . :wub:
"on" c'est qui "matériellement"?
Si c'est le produit d'une moyenne statistique, c'est juste une abstraction, pas une personne en vrai.
Voilà un raisonnement qui porte donc sur une idée de l'amoureux, pas sur un amoureux en chair et en os.
Ne nous méprenons pas : je trouve ça très intéressant, et très utile aussi. Je me dis juste qu'en fait ils font parler ce qu'ils observent dans un sens qui est déjà orienté, celui que porte les mots qu'ils emploient pour traduire en langue commune les observations de la chimie et de la mesure electrique.
Encore une fois, maintenant qu'on dégage des formes d'organisation du cerveau qui nous font être "de droite" ou "de gauche", on peut se demander -légitimement- sur quel chemin ils veulent nous emmener avant de se précipiter pour adhérer aux conclusions de leur. méthodes.
Et puis c'en est presque drôle la disproportion entre le côté très savant des observations sous le crâne et la platitude de la conclusion. Quel besoin des avancées de la neurobiologie pour conclure ?
a écrit :Ensuite, l'amour se transforme. On n'est plus inconditionnellement amoureux. La passivité devient mortelle, il faut être actif, des deux côtés.
ça n'était pas connu avant ?
Maintenant l'amour, c'est aussi un objet de connaissance "rationnelle" qui nous concerne, parce qu'il fait partie de notre expérience, donc sur lequel nous avons un avis qui nous touche.
"Vous savez bien ..."
Non je ne sais pas. Je ne sais pas qu'après un temps on nous fait forcément des crasses, nous soutire du fric, nous humilie. Tout le monde ne partage pas forcément cette expérience.