un référendum pour la constitution

[Péricles]

Quelqu'un qui ne vote pas, ne vote pas. C'est a dire en l'occurence, ni oui, ni non. Donc il n'aide ni le oui, ni le non. Donc une abstention ne permet ni a un camp, ni a un autre de gagner. Notre appel a l'abstention peut aussi permettre a des gens qui auraient voté oui de s'abstenir. 

Tout dépend du résultat final. Si le OUI l'emporte, l'abstention aura contribuer à sa victoire. Car les travailleurs ont tout intêret à refuser cette Constitution.

[Pélagiste]

Tout dépend du résultat final. Si le OUI l'emporte, l'abstention aura contribuer à sa victoire. Car les travailleurs ont tout intêret à refuser cette Constitution.

Et lorsqu'il y aura un mauvais coup contre la classe ouvrière, plutot que d'attaquer le futur gouvernement de "gauche plurielle", certains attaquerons LO puisque nous serons responsable des politiques patronales et gouvernementales "autorisées" par cette constitution bourgeoise européenne.


Et si le non l'emporte vous aurez contribué à :

- Renforcer le camp des De Villiers,...

- Renforcer le camp de ceux qui sont censés etre dans le camp des travailleurs mais qui cherchent trop souvent un bouc émissaire aux attaques contre les travailleurs plutot que de désigner "nos" patrons et que de tenter de mobiliser ce camp des travailleurs.

[Péricles]

Car comme chacun sait, le NON n'est défendu par aucun politicien bourgeois.
Et puis même s'il y en a quand même, ils comptent pour du beurre.
Ca ferait trop de peine à Pércilès et à quelques autres.

Dans son immense majorité les partis de la bourgeoisie appellent à voter OUI. Le MEDEF par exemple est clairement pour la Constitution. Alors, que certains partis représentant les intêrets d'une bourgeosie dépassée par la mondialisation s'égarent dans le vote NON ne doit en rien nous faire oublier que nos intêrets sont à l'opposée de ceux de l'UE.

[Jacquemart]

Car comme chacun sait, le NON n'est défendu par aucun politicien bourgeois.
Et puis même s'il y en a quand même, ils comptent pour du beurre.
Ca ferait trop de peine à Pércilès et à quelques autres.

Dans son immense majorité les partis de la bourgeoisie appellent à voter OUI. Le MEDEF par exemple est clairement pour la Constitution. Alors, que certains partis représentant les intêrets d'une bourgeosie dépassée par la mondialisation s'égarent dans le vote NON ne doit en rien nous faire oublier que nos intêrets sont à l'opposée de ceux de l'UE.
C'est bien ce que je disais. CQFD.

[Péricles]

C'est bien ce que je disais. CQFD.

C'est à dire rien de bien pertinent. :hinhin:

[Valiere]

Cette situation est intéressante car le PS va se trouver dans une situation intenable avec une "opposition" de gauche qui va devoir se positionner...Aux révolutionnaires de jouer.

[artza]

Votez Non, votez non hors de ça point de salut. Rien ne sert de faire grève ou de manifester il suffit de votez non. Maintenant j'aimerais bien que l'on m'explique. Rien ne contraignait vraiment Chirac à organiser ce référendum. Une victoire possible du non n'a pas l'air de l'effrayer tant que ça. Tout ceux sur ce forum qui craignent tant la manipulation chiraquienne n'ont-ils pas le sentiment tardif d'être un peu promener. Chirac siffle tout le monde court aux urnes.

[Péricles]

En effet, apres avoir fait toute leur campagne sur le thème de "l'europe sociale" on apréciera la manière dont il vont nous demander de voter OUI à la Constitution libérale de Giscard. :hinhin:

[Jacquemart]

C'est bien ce que je disais. CQFD.

C'est à dire rien de bien pertinent. :hinhin:
Périclès - et Valière, et tous les autres - vos messages sur le sujet sont un exemple frappant de non-transformation de quantité en qualité.
On vous demande de mille manières un raisonnement politique. En particulier, sur la manière dont une campagne pour le NON pourrait en quoi que ce soit renforcer la classe ouvrière.
Peine perdue. Hémiplégiques, borgnes, manchots et sourds d'une oreille, vous vous contentez de nous répéter invariablement que la bourgeoisie ayant intérêt à la constitution, toute victoire du non sera une défaite pour elle, et donc une avancée pour les travailleurs.
Ce raisonnement étroitement juridique, électoraliste, et fondamentalement apolitique, vous nous le resservez en chapelet, sans jamais prendre la peine de faire semblant de répondre à nos objections.
Alors, très bien, faites campagne, allez voter non, nous, pendant ce temps, on essaiera de montrer aux travailleurs que ce n'est pas le chiffon qui compte, mais le type qui le secoue.