Donne moi des preuves du passage de gènes de la plante a l'homme (ou à n'importe quel animal) via la digestion et on en rediscute.
La c'est n'importe quoi.
Que les mécanismes de mutation existent, ça c'est exact. Mais que par la magie d'on ne sait quoi on passe d'une espèce a l'autre (aussi différent que le maïs et l'homme) par la voie digestive, c'est totalement ahurissant et ça demande un minimum de preuves, ou peut être des indices qui montrent que des gènes d'espèces de fruits ou de racines consommées depuis des milliers d'années par les hominidés ont pu migrer dans le génome humain (ou dans tout autre génome animal).
Je crois que cette découverte vaudrait le Nobel a n'importe qui.
Je pense que vous n'avez pas lu cet article, Rojo, que j'ai publié deux pages en amont:
a écrit :Dimanche 28 Mai 2000 : LONDRES (AFP) - Des recherches menées par un zoologue allemand ont montré que des gènes utilisés dans la technique des organismes génétiquement mofifiés (OGM) pouvaient franchir la barrière des espèces, a rapporté dimanche un hebdomadaire britannique.
Une étude réalisée pendant trois ans par le professeur Hans-Heinrich Kaatz, de l'université de Iena, a mis en évidence que le gène utilisé pour modifier la structure génétique du colza, dont on extrait de l'huile, s'était propagé à des bactéries portées dans leur organisme par des abeilles. Cette découverte va à l'encontre des théories de l'industrie de la biotechnologie et des partisans des OGM sur la transmission des gènes entre espèces. Elle devrait aussi accroitre la pression pour la destruction en Europe de champs de colza contaminés par des semences génétiquement modifiées.
Dans une interview à l'Observer, le professeur Kaatz déclare "avoir trouvé les gènes de colza résistant aux herbicides transfèrés dans des bactéries et levure à l'intérieur des intestins de jeunes abeilles. Cela s'est rarement produit, mais cela s'est produit", a-t-il dit. Interrogé pour savoir si cela pouvait avoir des répercussions pour les bactéries intestinales de l'homme, le Pr Kaatz a répondu : "Peut-être, mais je ne suis pas un expert en la matière".
L'Observer ajoute que le zoologue s'est montré réticent à parler de ses travaux avant qu'ils ne soient officiellement publiés et examinés par d'autres scientifiques.
C'est, me semble-t-il très simple dans le principe.
Nadia a souligné les effets que ces organismes vivants, sont susceptibles de produire de manière additive par rapport aux organismes déjà présents. Ils constituent de nouveaux éléments potentiellement pathogènes contre lesquels nous ne sommes pas prémunis à priori. Ils viennent donc perturber l'équilibre biologique existant de manière dégradante.
Si vous considérez l'additivité des éléments pathogènes, statistiquement, vous en déduisez l'accroissement de l'affection des populations.
Qu'adviendra-t-il ? Encore une fois: le génôme propose et l'environnement dispose...