(Thomas @ samedi 11 décembre 2004 à 00:55 a écrit : Il y a certaines décisions flagrantes où l'appui du congrès ne me semble pas primordial . La LCR a t elle attendu un Congrès pour se rpononcer pour le NON ? le PCF ? le PT ?
A t il fallu un Congrès pour déclarer le soutien et la participation aux mouvements du printemps 2003 ?
voir le sujet sur l'interview D'AL au Monde :
a écrit :Le "non" s'est-il imposé comme une évidence ?
Au début, nous étions partagés entre le "non" et l'abstention, même si, à la direction de LO, existait plutôt une tendance en faveur d'un appel au "non". On a mené des débats internes. A l'issue de tout cela, le "non" l'a emporté. Lors du congrès - qui s'est déroulé à huis clos les 4 et 5 décembre -, moins de 10 % des camarades se sont prononcés en faveur de l'abstention.
Quand à l'urgence de la décision ?
Si le congrès s'était tenu en janvier, la décision aurait été prise en janvier ... et alors, ça aurait changé quoi ?
Comme le dit AL dans cet interview, on n'est pas pressé de faire campagne.
Pour l'instant la préoccupation des travailleurs est à cent lieu du réferundum !
Comme le dit justement Barikad, ceux qui se sont précipité à débattre de la constition, du referundum, sont ceux qui cherchaient un "os à ronger"... ou à chercher des alliances "de gauche" !
Pour beaucoup de chomeurs, de travailleurs ce qu'ils cherchent aujourd'hui c'est un "beefteack à manger" !
Et avec ou sans la constitution, les questions des licenciements, des salaires,... resteront les priorités.
C'est pas la constitution qu'il faut changer, c'est le capitalisme.
C'est sur que pour certains ce combat est trop difficile, alors ils cherche autre chose.