J'ai un peu l'impression que l'on n'est pais assez concrêt. Dans le dialecte des conseilliste, notre courant serait qualifié de commusite de parti par opposition au leur, commusite de coseil. Ce qu'ils veulent mettrent en avant c'est que la forme que prendra le pouvoir ouvrier est le conseil et non le parti.( rappelons, par exemple, que pour Cannon, le Parti est l'ambrion de l'Etat ouvrier à venir).
La question des modes d'organisations se posepour les périodes réactionnaires ou pré-révolutionnaire. Et force nous est de constater que ce qui fut préparé et organiser de longue main fouara lamentablement, le SPD, la SFIO, Le PCF... sans oublier la quatrième qui n'a jamais réellement réussit à exister. Le Parti bolchevique a eu besoin du retour de Lénine et de ses thèses d'avril....
La question de comment s'organiser dans les périodes de recul ou de stagnation du mouvement ouvrier se pose réellement. De même que le comité de grève est l'arme de la classe ouvrière pour neutraliser la corruption des syndicats, le conseil ouvrier est le biais qui permettra aux travailleurs de s'émanciper réellement et de pallier aux dégénerescences des vieilles orgas révolutionnaires pourries de train train et forger à la survie en période de paix civile.
Maintenir les thèses révolutionnaires depuis les années 1950 ne garanti rien sur les capacités révolutionnaires réelles de nos orgas.
Les conseillistes ont eut le tord de voire trop de choses, tres tôt. Mais le danger bureaucratique les a stérilisé.