Je ne connais la situation actuelle que par ce qu'en raconte la presse.
Et des déclarations de F. Amara et NPNS. Ces dernières, je ne pense pas qu'elles veulent stigmatiser qui que ce soit.
Au début des années soixante j'ai eu connaissance de deux viols collectifs non pas par les victimes mais par les auteurs qui s'en vantaient fort.
L'un avait eu lieu dans un poste de garde d'une caserne d'un régiment parachutiste basé près de Metz, l'autre dans un soirée parisienne d'étudiants fils de bonne famille des 16ème, 17 ème et 8 ème arrondissement.
Dans ce genre de drame je crains fort que les victimes encore aujourd'hui le gardent pour elles si on peut dire.
Alors que l'on en parle tant mieux, si ça permet de dénoncer des crimes, d'aider des victimes et de discuter dans tout les milieux de jeunes que des bonnes à tout faire et à tout subir ça n'existe pas et qu'une société qui se veut civilisée ne peut l'accepter.
Ca me rappelle beaucoup la bagarre des féministes au milieu des années 70 pour faire reconnaître le viol comme un crime.
Elles y sont parvenu et c'est très bien.