(lol a écrit :La prise en compte de la féminisation de la classe ouvrière ce qui améne à avoir d'autres genres de revendications comme l'explique de façon très claire Dominique Mezzi,
Je suppose que tu fais référence à çe passage
a écrit :La féminisation des exigences nécessite ainsi une expression revendicative qui intègre à la fois toutes les conditions de travail et de vie, y compris dans les rapports interpersonnels, autour desquels les femmes chercheront plus volontiers l'utilité syndicale, à la différence d'hommes trop habitués à un statut d'évidence de leur place sociale, et dont le rapport aux normes sociales est aujourd'hui fragilisé (insécurité ou angoisse).
Mais outre le style que je trouve tortueux à souhait -tu devrais lui filer un coup de main t'arrive à être plus claire- justement je trouve qu'il ne dit rien.
quelles types de revendications particulières ? Quelles formes éventuellement nouvelles d'organisation ?
(lol a écrit :Il redéfinit la liaison entre politique et syndicalisme en oppositions aux réformistes qui veulent dépolitiser les syndicats au profit d'une émergence des mouvements sociaux sur le plan politique tout en garantissant une indépendance des syndicats vis à vis des partis et il finit par défendre le droit de tendance.
Sur ça, je te renverrais bien à la réponse de Jacquemart mais en fait je pense qu'il faudrait carrement ouvrir un fil sur les relations parti/syndicat
Tout en rejetant l'opposition formelle parti/syndicat que semblerait formule Le duigou (jai pas lu son bouquin) il reste suffisement flou pour qu'en fait ce soit les mêmes recettes qui affleurent (l'un s'inspire de l'autre et vice etversa mais attention que le parti ne se mêle pas de ce qui ce passe dans le syndicat où il se contente d'en être le relais voir de leur piquer des idées ?!?)
Tu parles de réponse que tu as trouvé mais t'aurais pas un exemple concret pour qu'on voit
Quant au décalagge entre praxis et réalité, si praxis est un synonyme de pratique pourquoi ne pas le dire simplement?
C'est aussi un reproche à ce texte son ton c'est vraiment ennuyant à soi.