(stef @ mercredi 19 mars 2003 à 22:09 a écrit :Tu noteras que je prends soin régulièrement de montrer des éléments d'activité car je suis un militant et pas un discoureur. Par exemple nos diverses actions sur les retraites. qu'en penses-tu ? Quant à l'extension d'une influence c'est difficilement démontrable par le net me semble-t-il (sauf par un nombre de signataires de motion, à la rigueur).
Quant à l'"efficcacité", ça pose quand même le problème de l'unité de mesure. Je m'explique. LO pourrait mettre un tract "Cette guerre n'est pas la nôtre" dans chaque boite à lettres de Paris que ça m'indiffèrerait totalement : je suis contre ce mot d'ordre.
Enfin sur l'"entrisme" - puisque ça a l'air de vous passionner - à toi la balle... Je répondrai... ou pas (ça dépend car le sujet a été rabâché). D'ailleurs j'attends toujours la démonstration de Emman.
Je sais pas trop de quelle démonstration tu parles... Peut-être par rapport à ce que me repprochait Pastorius, mais j'avoue je n'ai pas suivi le fil. D'abord je m'excuse de ne pas avoir plus explicité mon alégation (manque de temps peut-être...).
Donc mon "je crois que CPS a fait de l'entrisme à la LCR" venait d'un lien qu'avait (
¼uvrer à la construction du parti ouvrier révolutionnaire) donné Wolf sur les sission au sein de CPS. On peut y lire cela, mais peu-être que j'ai mal compris.
a écrit : Axé sur le redressement politique et organisationnel du PCI, le Comité pourra ainsi attirer à lui plusieurs regroupements expulsés par la direction du PCI (tendance Domange (85), groupe "Que Faire?" (87) une partie de la tendance "FFU" (1989) et "groupe trotskyste" de Clermont-Ferrand (1993). A partir de 1987, avec la disparition publique du PCI, escamoté au profit du MPPT, et avec en particulier les développements de la lutte des classes (grève générale victorieuse des étudiants de 1986), le Comité devient "pour la construction du parti ouvrier révolutionnaire, pour la reconstruction de la IV° Internationale". Il renouera des liens fructueux avec la jeunesse étudiante, en intervenant au sein de l'organisation de jeunesse de la LCR, les JCR, en constituant ultérieurement à partir de ce premier lien dans la jeunesse une fraction étudiante réduite.