On ne se penche en effet que trop peu sur les stratégies patronales, dans leur capacité à "anésthésier" une partie du prolétariat, par le don de quelques menues miettes de capital, qui donnent "l'impression de". C'est même carrément dommage, Yannalan.
Pour Clavez (j'arrive pas à la citation): les patrons qui s'occupent de la gestion de service d'intérêts publics, ne peuvent être insérés dans le clivage bourgeois/travailleurs, comme tu le dis. Toutefois, ils se rapprochent à bien des égards du premier groupe, car étant les intermédiaires directeurs de la bonne gestion de l'affaire en question. Or, qui sont les bénéficiaires, les capitalistes, qui pour des entreprises de ce type, retirent les plus-values? Il y a t-il seulement un profit, dans le cadre d'une instutitution comme le Louvres? Peut-être un rapport aux banques, je sais pas. Il est clair enfin, que, par les restes de la féodalité ou par quelque directeur de musée, il est nécessaire d'user d'un intermédiaire principal. :wacko: