Une fois seulement, j'ai entendu un jeune sympathisant évoquer avec "légèreté" une remarque sur les juifs.
La camarade qui l'a repris et lui a rappelé en séance la gravité des faits derrière les préjugés a fini en larmes devant lui.
Je ne pense pas être le seul à pouvoir témoigner que l'on ne tient pas de propos homophobes chez nous et qu'on n'en laisse jamais non plus passer chez les autres.
Il n'y a pas de priorités à débattre dans le combat pour la dignité et la liberté, il est un et un seul.
Il y a par contre des priorités dans le discours politique mais ça n'en est pas au sens commun du terme, c'est juste parce que le combat contre l'oppression des minorités passe d'abord par le combat contre le capitalisme.