ottokar tu as un avis sur elizabeth Tessier, pas sur Marie-Monique Robin.
alors je vais t'aider:
extrait pris sur Arte,
modéré a écrit :
Dimanche 17 september 2006 à 23h55
Le sixième sens : science et paranormal
Le paranormal est-il soluble dans la science ? Notre cerveau possède-t-il des capacités encore insoupçonnées ? Une voyante, un extralucide et un guérisseur se prêtent aux expérimentations des scientifiques… avec des résultats étonnants.
Alors que les États-Unis et nombre de pays européens reconnaissent la parapsychologie comme une science à part entière, le sujet reste tabou en France. Même si les phénomènes paranormaux n’ont jamais été prouvés, de nombreux laboratoires font des expériences sur les états modifiés de conscience qui révèlent des capacités insoupçonnées de notre cerveau. Marie-Monique Robin a rencontré plusieurs extralucides qui se sont prêtés à des expérimentations scientifiques : la célèbre voyante Maud Kristen, dont on mesure les ondes cérébrales lors des séances divinatoires ; un ancien agent de la CIA, qui a acquis un don de vision à distance depuis son expérience de “mort imminente”, ce qui lui a permis de sauver des otages et de donner des renseignements stratégiques fondamentaux à ses collègues ; et un guérisseur français qui, grâce à l’apposition des mains, est parvenu à soigner des patients atteints d’une grave maladie de la peau.
Le sixième sens : science et paranormal
Documentaire de Marie-Monique Robin
Production : Canal+, Idéal Audience, UMT Prestige
ARTE France
et puis son livre présenté sur Amazon.fr:
a écrit :
Le sixième sens: science et paranormal
Amazon.fr
Misant sur un titre qui fut déjà celui d'un succès cinématographique récent, cet ouvrage propose une revue somptueusement illustrée des expériences paranormales vécues par le sujet humain. Sont ainsi évoquées la "clairvoyance" (capacité à s'informer sur des événements éloignés), la "précognition" (connaissance anticipatrice d'un fait à venir), la psychokinèse (action de l'esprit sur la matière) , la bio PK (action de l'esprit sur un organisme vivant ; un exemple est fourni par les guérisons effectuées par les saints) et ses consœurs la micro PK (action d'un vivant sur des processus invisibles) et la macro PK (action d'un organisme vivant sur des objets situés à distance et sans recours à une énergie propre). Un glossaire introduit le lecteur au lexique paranormal ; on y notera le singulier "effet mouton chèvre" désignant la différence de résultat entre un sujet adhérant au paranormal et un sujet sceptique. De l'ensemble, se dégage une impression ambiguë. Certes, les photos sont passionnantes, les informations abondantes et variées, mais l'ensemble vise trop à l'anecdote extraordinaire, à l'effet gratuit. Outre cela, la présentation des faits sombre souvent dans le bric-à-brac insolite (c.f. les premières pages qui ricochent de Musset à Dante puis à des faits contemporains) et l'estrade à phénomène. Le paranormal a été trop souvent, par le passé, accaparé par des montreurs d'ours et des escrocs pour en donner une image trop teintée d'épate et de bizarrerie. Une approche historique rigoureuse et une analyse méticuleuse auraient dû accompagner les fort belles photos recueillies dans ce livre dont le texte pourrait à la rigueur faire l'objet d'un dossier de revue, mais en aucun cas la matière d'un volume. Un livre à consulter pour la seule richesse de son appareil iconographique. Dommage. --François Angelier
Présentation de l'éditeur
Relié sous jaquette, 24 x 34 cm. 120 photographies. Depuis les Lumières, qui avaient relégué les sciences dites "occultes" au rayon des superstitions pour ne cultiver que la seule raison, l'Occident était divisé entre deux courants de pensée : ceux qui croient que le monde n'est que matière et ceux qui croient qu'il y a "autre chose". Mais depuis peu, les "matérialistes" commencent à s'intéresser à ce qui échappe à leurs cinq sens et les "spiritualistes" cherchent à asseoir leur credo sur les avancées de la science expérimentale. Ce livre nous invite à découvrir ce que sont les phénomènes "psy" et les recherches que dirigent les scientifiques pour les appréhender, ouvrant par là un immense champ d'étude qui remet en cause notre vision de l'espace et du temps.
Marie-Monique Robin est née le 15 juin 1960. Titulaire d'une maîtrise d'Allemand et de Sciences Politiques (Université de Saabrücken), elle est diplômée du Centre Universitaire de l'Enseignement du Journalisme à Strasbourg. Elle entre à l'agence CAPA en 1989 en tant que journaliste-grand reporter et parcourt le monde pendant plus de 10 ans et est actuellement journaliste-réalisatrice à l'agence Point du Jour. Spécialiste de l'Amérique Latine, elle est l'auteur de nombreux documentaires. Une dizaine de prix ont récompensé son travail, dont le prix Albert Londres en 1995 pour son film "Voleurs d'organes". Elle est également l'auteur de "100 photos du siècle" paru aux Éditions du Chêne. Mario Varvoglis est président du Parapsychological Association, l'organisme officiel de la parapsychologie scientifique, et de l'Institut Métaphysique International, fondation reconnue d'utilité publique, le seul organisme de recherche parapsychologique en France. Il est l'auteur de "La Rationalité de l'Irrationnel" (InterÉditions, 1992), ainsi que de nombreuses publications dans des journaux scientifiques spécialisés et des ouvrages collectifs.
sur son fameux reportage les voleurs d'organes voila ce qu'écrivent des spécialistes réputés en ophtalmologie sur l'enfant auquel on on soit-disant prélevé les yeux:
source AFIS:
a écrit :
Le reportage traitait du cas d’un enfant dont, d’après le témoignage de la mère, on aurait « volé les yeux » dans l’objectif d’y prélever les cornées pour une greffe. Une contre-expertise, suite à la sortie du film, par les professeurs Gilles Renard (service d’ophtalmologie de l’Hôtel-Dieu de Paris), Marc Gentilini (maladies infectieuses et tropicales à la Pitié-Salpêtrière) et Alain Fischer (immunopédiatrie à l’hôpital Necker-Enfants malades) concluait : « Il n’y a pas eu de vol des yeux de cet enfant », l’enfant a toujours ses globes oculaires et est atteint d’une kératite bilatérale sévère avec ulcération profonde de la cornée, consécutive à une affection diarrhéique. Le prix Albert Londres avait été décerné avant la connaissance de ce dénouement. Sources : article de Jean-Yves Nau paru dans l’édition du 19.09.95 du quotidien Le Monde et consultable dans les archives électroniques payantes du journal : Un rapport médical contredit un reportage sur un trafic d’organes en Colombie
quand au "documentaire" de Robin, fais toi une idée, Zelda, en télchargeant le film aupres duquel "ben Hur" est un documentaire!
Le monde selon Monsanto
http://www.megaupload.com/?d=J7H22OBFhttp://www.megaupload.com/?d=3JWWDSSNj'espere qu'apres ça Ottokar tu auras un avis sur une dame qui vaut bien elizabeth Teissier, foi de vierge ascendant lion!
quand à aller poser des questions à MM.Robin, à la fete, dans ces conditions ce serait lui passer le plat, pas lui porter la contradiction!