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[rudy]

La tribune.fr

Politique
Reuters - 09/05/08 à 20:21:00 - 244 mots

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La colère monte en France, dit Arlette Laguiller

PARIS (Reuters) - La colère monte en France face à la politique injuste du gouvernement, estime Arlette Laguiller, porte-parole de Lutte ouvrière, dans un entretien à paraître samedi dans Le Parisien.

"J'espère une grande grève d'ensemble du monde du travail, comme on en a connu en mai-juin 1968. Le 22 mai sera un premier test", dit-elle en appelant les actifs, les chômeurs et les retraités à se mobiliser pour cette journée d'action sur les retraites.

"La colère monte car les sujets de mécontentements sont nombreux", ajoute-t-elle.

Interrogée sur la première année de présidence de Nicolas Sarkozy, Arlette Laguiller juge que "la politique qu'il mène consiste à prendre aux plus modestes pour donner aux plus riches".

"On nous dit que le gouvernement veut s'attaquer aux niches fiscales, pourquoi ne commence-t-il pas par supprimer ses propres mesures comme le bouclier fiscal à 50% ?", demande la porte-parole de LO.

"Au lieu de ça, l'Etat essaie de trouver de l'argent ou d'économiser par tous les moyens: les franchises médicales, les suppressions de postes dans l'éducation nationale, les sanctions contre les chômeurs... Et Nicolas Sarkozy, qui s'est doté d'une augmentation de 170% de son salaire, ose augmenter les retraites de 0,8% au 1er septembre ! On voit bien là qu'il y a des choix de classes", ajoute-t-elle.

Jean-Baptiste Vey

[Ottokar]

une niaiserie pas très sympa de Libé

LO, pas à la fête, derrière la LCR
Lutte ouvrière, lors de son rassemblement annuel, a refusé l’idée d’un parti commun.
CHRISTOPHE FORCARI
QUOTIDIEN : lundi 12 mai 2008

Hors du «Parti ouvrier communiste révolutionnaire marxiste-léniniste», point de salut ! Et s’il ne doit en rester qu’une seule authentique représentante, ce sera Arlette Laguiller. Hier, lors de la traditionnelle fête de Lutte ouvrière dans le parc de leur château de Presles, la porte-parole de l’organisation trotskiste n’a cessé de réaffirmer l’identité de LO lors de son discours : «Alors que tant d’organisations, si puissantes dans les années qui ont suivi 1968, se sont dissoutes ou ont disparu, alors que tant de leurs dirigeants qui se disaient révolutionnaires, se sont intégrés dans les ministères ou à la tête des journaux, nous sommes restés fidèles à nos convictions communistes révolutionnaires.»

Une manière de fermer la porte à la proposition de l’organisation «sœur», la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) de participer à la création d’un parti anticapitaliste, pendant qu’au même moment, Olivier Besancenot squattait le canapé rouge de l’émission de Michel Drucker, Vivement Dimanche. «La LCR veut recréer une sorte de PSU. Ce n’est pas du tout ce que nous appelons de nos vœux», a précisé, devant la presse, la «polycandidate» à la présidentielle. «Nous voulons un parti qui soit capable de diriger les luttes et d’offrir un débouché politique. Or, le type de parti proposé par Olivier Besancenot n’aurait permis de rien changer en 1968», précise un des membres de la direction de LO. «C’est clair que ce n’est pas un discours d’ouverture à notre égard», constatait un des représentants de la LCR, présent à la fête de LO.

Car l’objectif de «la lutte finale» reste bien, pour LO et sa porte-parole, de «contester le pouvoir du grand patronat sur les entreprises» : «Ce n’est pas possible autrement que par une lutte importante, généralisée, du monde du travail, suffisamment puissante pour inquiéter le grand patronat et l’obliger à reculer.» Pour Arlette Laguiller, face à la politique «réactionnaire» menée par Nicolas Sarkozy, le moment est d’autant mieux venu de réaffirmer cette appartenance au courant communiste révolutionnaire. «Après un an de présidence Sarkozy, tous peuvent constater que cet homme est le porte-parole des plus riches de la société […]. C’est en fonction des intérêts des riches qu’il gouverne et rien qu’en fonction de cela», a-t-elle martelé à la tribune. Et de prédire, comme à l’accoutumée, une prochaine «explosion sociale. Même Ségolène Royal en parle, mais pour la redouter». Pour la porte-parole de LO, «face à ce gouvernement de droite, la gauche officielle, c’est-à-dire essentiellement le Parti socialiste est totalement absente. Il ne veut rien proposer qui puisse l’engager dans l’avenir, au cas où il reviendrait au pouvoir». Ce qui n’a pas empêché sa formation de s’allier parfois avec le PS lors des dernières municipales et de doubler le nombre de ses conseillers dans les mairies.

Face à la hausse des produits de première nécessité, Arlette Laguiller a aussi réclamé «une augmentation générale et conséquente de tous les salaires». Elle a également remis sur le tapis la revendication des années 70 de «l’échelle mobile des salaires», c’est-à-dire leur indexation sur les prix.

En réaffirmant ainsi une ligne dure, nul doute que LO espère reconquérir les parts de marché perdues lors de la dernière présidentielle au profit de la LCR (1,33% contre 4,08%) et de sa nouvelle star médiatique.

extrait de la revue de presse de France Info

Enfin à la une de Libération, un facteur, le facteur Besancenot, qui a confirmé dit Libération son poids politique à gauche de la gauche avec son passage hier chez Drucker à Vivement dimanche, D’ailleurs, Pentecôte ou pas, on ne chômait pas hier chez les trotskystes, Besancenot en révolutionnaire tout-terrain de la LCR dans les fauteuils rouges de Drucker dit le Figaro, et Arlette Laguiller en vedette pour la fête de Lutte ouvrière à Presles, ce n’était pas le jour du Seigneur, mais le jour de la lutte finale pour l’audimat...

[Ottokar]

extrait de l'AFP

Fête de LO: Arlette Laguiller attaque le gouvernement et critique le PS

Il y a 2 jours

PRESLES (AFP) — Arlette Laguiller, porte parole de Lutte Ouvrière (LO), a renouvelé dimanche ses attaques contre le gouvernement et ses critiques du parti socialiste, lors d'un discours a la fête traditionnelle du parti trotskyste à Presles (Val-d'Oise).

"Après un an de présidence Sarkozy, tous peuvent constater que cet homme est le porte parole des plus riches de la société (...). C'est en fonction des intérêts des riches qu'il gouverne et rien qu'en fonction de cela", a-t-elle lancé à la foule.

"L'ensemble de sa politique vise à prendre aux pauvres pour donner aux riches", a-t-elle ajouté, citant le "bouclier fiscal", l'augmentation des franchises médicales, la diminution des allocations familiales ou encore la réduction du nombre d'emplois dans le service public.

La porte-parole de LO s'en est également prise au parti socialiste qu'elle juge "totalement absent". Selon elle, Ségolène Royal, face au chômage, "n'a rien d'autre à proposer que la formation ou la revalorisation des métiers comme le bâtiment, la restauration ou les services à domicile".

Elle a rappelé les revendications de son parti face à la hausse des prix: "une augmentation générale et conséquente de tous les salaires et toutes les pensions mais aussi que tous les salaires soient indexés sur les prix (...). Il faut l'échelle mobile des salaires et des pensions".

Mme Laguiller a apporté son soutien aux travailleurs sans-papiers. Les travailleurs "ne peuvent laisser s'installer une coupure entre ceux qui ont la carte d'identité française et les travailleurs immigrés, avec ou sans papiers. Nous tous, nous sommes la même classe ouvrière", a-t-elle proclamé sous les applaudissements.

Au cours d'une conférence de presse suivant son allocution, encadrée de quatre porte-parole régionaux du parti, elle a de nouveau refusé de désigner son successeur pour la prochaine élection présidentielle. "2012, c'est loin et on a le temps, comme les autres partis", a-t-elle souri.

Interrogée sur la participation d'Olivier Besancenot, porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), à l'émission de divertissement de Michel Drucker, elle s'est déclarée "pas choquée". "Je ne comprends pas la polémique. C'est une émission populaire, pas people. Je l'ai faite il y a dix ans", a-t-elle rappelé.

La traditionnelle fête de Lutte ouvrière, placée cette année sous le signe de mai 68, se termine lundi soir.

l'article du Parisien, mais il était peut-être déjà posté ?

Lutte ouvrière
Arlette Laguiller : «La colère monte»

DÉJÀ DEUX ANS qu'elles ont été présentées à la presse. Quatre femmes « travailleuses », qui pourraient succéder à Arlette Laguiller... un jour. En 2006, la porte-parole de Lutte ouvrière (LO) avait annoncé que la présidentielle 2007 serait sa dernière. Pour le prouver, elle avait posé lors de la fête annuelle au château de Presles (Val-d'Oise) pour les photographes, entourée de quelques prétendantes. Car Arlette n'a jamais caché sa préférence pour que « LO garde une porte-parole femme ». Mais depuis cette petite présentation, rien de nouveau sous le soleil trotskiste. A chaque fois qu'on évoque la question de la succession de celle qui fut six fois candidate à la présidentielle, les réponses sont très vagues. « Il est trop tôt », « ce n'est pas la priorité », « revenez en 2011 »...

La retraitée du Crédit lyonnais l'assure, les jeunes pousses sont mises en avant dans leur région et ce week-end, à la fête annuelle de LO qui se tient jusqu'à lundi, certains animeront des débats. Rien de plus pour l'instant, et au niveau national, c'est toujours Arlette Laguiller qui représente l'organisation trotskiste. C'est que la concurrence d'Olivier Besancenot, le porte-parole de la LCR, chouchou des sondages et des médias, incite LO à prendre son temps. Avant de remplacer Arlette Laguiller (1,33 % à la présidentielle contre 4,08 % pour le postier), il faudra être sûr du choix. Ce week-end, la vedette du château de Presles sera donc encore et toujours Arlette. A elle le grand discours de demain où, « sous le signe de Mai 68 », elle appellera à la mobilisation contre la politique de Nicolas Sarkozy.

Dimanche, pendant la fête de Lutte ouvrière, Olivier Besancenot sera chez Michel Drucker. Vous ne craignez pas qu'il vous vole la vedette ?

Arlette Laguiller. Je ne crois pas qu'on se fasse concurrence, ce sont deux événements différents. Tout le monde n'est pas le dimanche après-midi devant son poste de télévision... Je suis sûre qu'il y aura beaucoup de monde à notre rassemblement de Presles.

Où en sont vos rapports avec la LCR ?

Nous ne sommes pas fâchés et nous nous retrouvons dans les manifestations. Mais nous, nous voulons continuer à construire un parti ouvrier, communiste et révolutionnaire.

« J'espère une grande grève le 22 mai »

Votre succession au sein de LO n'est toujours pas en vue cette année ?

On est comme les autres partis, on choisira notre candidat un an à un an et demi avant la présidentielle. Le choix n'est pas fait parmi la dizaine de camarades qui pourraient me remplacer en 2012.

Comment jugez-vous la première année de Nicolas Sarkozy à l'Elysée ?

La politique qu'il mène consiste à prendre aux plus modestes pour donner aux plus riches. On nous dit que le gouvernement veut s'attaquer aux niches fiscales, pourquoi ne commence-t-il pas par supprimer ses propres mesures comme le bouclier fiscal à 50 % ? Au lieu de ça, l'Etat essaie de trouver de l'argent ou d'économiser par tous les moyens : les franchises médicales, les suppressions de postes dans l'Education nationale, les sanctions contre les chômeurs... Et Nicolas Sarkozy, qui s'est doté d'une augmentation de 170 % de son salaire, ose augmenter les retraites de 0,8 % au 1er septembre ! On voit bien là qu'il y a des choix de classes.

Avez-vous l'impression que la grogne s'amplifie ?

Oui, la colère monte car les sujets de mécontentement sont nombreux. Le 22 mai, il y a un appel général des confédérations interprofessionnelles. Il faut qu'actifs, chômeurs et retraités se mobilisent. J'espère une grande grève, comme on en a connu en mai-juin 1968. Le 22 mai sera un premier test.

LO, qui a conclu des alliances locales avec le PS et le PC, est-elle satisfaite de son bilan aux municipales ?

On a doublé le nombre de nos élus. Mais nos élus sont minoritaires et de toute façon ce n'est pas dans les municipalités que peuvent se résoudre les problèmes du monde du travail. En revanche nous allons prolonger la campagne des municipales par une campagne de propagande politique pour défendre nos idées.

PANTIN (SEINE-SAINT-DENIS), MARDI. Arlette Laguiller, toujours porte-parole de LO, appelle à la mobilisation contre la politique de Nicolas Sarkozy.  (LP/OLIVIER CORSAN.)

Propos recueillis par Rosalie Lucas

Le Parisien , samedi 10 mai 2008

et sur le site du Parisien toujours, une vidéo d'Arlette :
la video

[ianovka]

Sur le site Argenteuil95.com (journal du Web indépendant des habitants d'Argenteuil et de ses environs)

LO : Une fête joyeuse et une Arlette Laguiller toujours combative

Avec un petit diaporama .

[ianovka]

Pas très politique mais très sympa, une petite visite culinaire de la fête en photos :

Fête 2007

Fête 2008

[Valiere]

d'un côté Drucker, de l'autre la fête ouvrière..."y a pas photo!"

[Barnabé]

Pas très politique mais très sympa, une petite visite culinaire de la fête en photos :

Fête 2007

Fête 2008
C'est assez lyrique...

Quand, après vingt minutes de queue, vous vous installez enfin à table avec votre assiette de truffade, c'est un grand moment d'émotion qui s'empare de vous...

8)

[Beatlechris]

Avec un petit diaporama .

Ce diaporama me ravit
Il me rassure sur le fait que je ne suis pas le seul a faire des photos floues 8)

[Vérié]

d'un côté Drucker, de l'autre la fête ouvrière..."y a pas photo!"
Ce sont certains journalistes qui ont fait une comparaison entre ces deux événements". Cette comparaison est ridicule, nous n'avons pas à la reprendre à notre compte.

C'est aussi ridicule que, si on disait par exemple : "D'un côté une fête champêtre bon enfant, de l'autre une manif de travailleurs sans papier", y a pas photo. (Il y avait effectivement une manif de sans papier le samedi, je les ai croisés...)

Ce sont des événements de natures différentes.

[Ottokar]

Dans le JDD :

Samedi 10 Mai 2008
Laguiller continue la lutte par Géraldine THOMAS
leJDD.fr
>> Jusqu'à lundi, le château de Presles, dans le Val d'Oise, accueille le rassemblement annuel de Lutte Ouvrière. C'est l'un des grands rendez-vous politique et populaire de l'extrême gauche. Et pourtant, Arlette Laguiller n'a pas le coeur à la fête. Mais, comme toujours, au combat. Pour la porte-parole trotskyste, seul un nouveau Mai-68 pourrait "faire reculer le gouvernement et le patronat".

Arlette Laguiller pense qu'il faudrait un nouveau Mai-68 en France. (Reuters)

Fidèle à elle-même. Déterminée, combative, et jusqu'au-boutiste. Et ce n'est pas parce que la grande fête de Lutte Ouvrière bat son plein au château de Presles, dans le Val-d'Oise, qu'Arlette Laguiller va baisser les armes. "Vu la politique du gouvernement qui est le bras armé du Medef, on ne peut pas s'en sortir (...) sans une crise comme on a connu en 1968, avec une grève générale " a martelé l'inépuisable porte parole du parti trotskyste ce samedi sur France Info. Plus que jamais révolutionnaire, elle affirme même que c'est ce qu'elle" souhaite personnellement "et "espère qu'on y arrivera", parce que "c'est la seule façon de faire reculer le gouvernement et le patronat".
Arlette Laguiller a tiré les leçons de Mai-68 : "Ce qui a beaucoup manqué, c'est un parti communiste révolutionnaire implanté dans les entreprises qui puisse défier les bureaucraties syndicales et les partis réformistes qui nous ont fait bien top vite reprendre le travail". Et c'est ce qui explique son désaccord sur le parti anticapitaliste que veut créer Olivier Besancenot pour "rassembler les déçus des partis de gauche institutionnels, des verts, des féministes... mais qui s'éloigne sans doute de ce que nous, nous souhaitons faire, c'est-à-dire un parti ouvrier, communiste, révolutionnaire, trotskiste". Arlette Laguiller craint en effet que le porte-parole de la LCR fasse "table rase " de nombre d'enseignements communistes pour ratisser large à gauche. Pour rien au monde elle ne veut abandonner "ce que nous a enseigné Marx sur la société capitaliste, ce que Lénine nous a montré de l'efficacité d'un parti implanté dans la classe ouvrière, ce que nous a appris Trotsky des vraies raisons de la dégénérescence de l'URSS et du stalinisme".

"La colère monte"

Une grande leçon de la retraitée du Crédit Lyonnais au facteur des beaux quartiers... Elle lui fait d'ailleurs aussi un beau pied de nez dans les colonnes du Parisien. Interrogée sur le passage aussi médiatisé que controversé d'Olivier Besancenot chez Michel Drucker, Arlette Laguiller ne craint pas une seule seconde qu'il ne lui "vole la vedette" ce dimanche. Loin d'elle ce genre de préoccupation, semble-t-il. Elle s'attelle plutôt à dénoncer "la colère" qui "monte en France face à la politique injuste du gouvernement". Interrogée sur la première année de présidence de Nicolas Sarkozy, elle juge que "la politique qu'il mène consiste à prendre aux plus modestes pour donner aux plus riches".
"On nous dit que le gouvernement veut s'attaquer aux niches fiscales, pourquoi ne commence-t-il pas par supprimer ses propres mesures comme le bouclier fiscal à 50% ? " demande la porte-parole de LO. "Au lieu de ça, l'Etat essaie de trouver l'argent ou d'économiser par tous les moyens : les franchises médicales, les suppressions de postes dans l'éducation nationale, les sanctions contre les chômeurs... Et Nicolas Sarkozy, qui s'est doté d'une augmentation de 170% de son salaire, ose augmenter les retraites de 0,8% en septembre ! On voit bien là qu'il y a des choix de classe ", peste-t-elle. D'où son idée de "grande grève du travail comme on a connu en mai-juin 1968. Le 22 mai sera un premier test " confie Arlette Laguiller. N'oubliant pas d'appeler" tous les chômeurs, actifs, retraités " à la mobilisation pour cette journée d'action pour les retraites. Quant à la sienne de retraite, elle est encore loin. Eventuellement en 2012, lit-on entre les lignes dans le Parisien. Décidément, la meneuse de LO n'est pas prête à raccrocher.