(clavez @ mercredi 26 août 2009 à 06:49 a écrit : et pourquoi pas apologie du crime de guerre....
Eh bien pas mal de films constituent en effet des apologies de crimes de guerre - par exemple les films sur les glorieux aviateurs anglo-américains qui risquaient leur peau pour bombarder les civils allemands ou japonais. De même qu'on trouve l'apologie de la torture dans pas mal d'autres films quand il s'agit de faire parler un méchant, notamment de façon odieuse dans le thriller Taken. Avec une allusion directe à la peine de mort : le héros fait griller le méchant terroriste islamiste en en le branchant sur le courant, après l'avoir torturé pour le faire parler.Les berets verts avec John Wayne ou Les centurions avec Delon étaient des apologies des guerres coloniales du Vietnam et d'Algérie...
Alors, quand ça se veut fantaisiste et comique, on peut invoquer le second degrè, mais la morale, même quand les victimes sont des nazis, ça reste : avec les méchants, les ennemis du monde libre, on a le droit de faire n'importe quoi : tuer, avilir, torturer etc.
a écrit : Chuck
Je ne pense pas que l'on puisse tirer le moindre propos de ces films, car il n'y en a tout simplement pas. Il fait du cinéma spectacle, sans la prétention de coller à la réalité.
a écrit :
il a une culture énorme dans ce genre de films, et il a repris pas mal de clichés qu'on retrouve dans ce genre de films : la première partie est digne d'un mauvais western
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