a écrit :Le chaos, ce serait effectivement l'échec de la révolution.
Bon, que dire?
Il y a eu une "révolution" quelque part?
La suite des révolutions c'est le chaos?
On n'avait pas encore vu la nature des "dirigeants" du CNT? (Il se sont déjà passés huit mois...)
Mais non! Quel "échec? Ce n'est pas le triomphe de la "révolution" avoir écrasé les villes sur les bombes à fragmentation, toute sorte de bombes (un bon scénario réel pour l’expérimentation "en situation" pour ces guerriers de l'OTAN) et avoir fait reconnaitre par les Nations Unies (cette réunion des gangsters) le fringant CNT?
Et le "triomphe" (pas encore, mais ça va venir qu'ils disent depuis des mois) des voleurs et des assassins racistes? Ce n'est pas un triomphe? ...Ou le chaos?
Ou l'échec de l'intervention impérialiste? Non, cela non. Ils ont bien mis la main sur le pétrole et même une délégation française des industriels experts en reconstruction, et des pétroliers se sont précipités avant que les turcs, ou les italiens, ou les américains ou les anglais n'arrachent les morceaux le plus juteux de la chair encore tiède de la Libye.
Qu'un Jibril (qui est celui-là? Un laquais de la CIA? On peut donc le remplacer, cela ne manque pas) se tire, que est ce que cela change à un aussi joli tableau?.
Le CNT ne tient que par les impérialistes, il est soutenu à bout des bras par les impérialistes et sa presse.
Mais il ne compte sur absolument aucun appui populaire au point que malgré ce soutient des "Nations Unies", tous, mais tous ses "ministres" ont renoncé...Jibril plus d'une fois, mais remis en place volens-non volens par les impérialistes qui ne veulent pas se trouver exposés ouvertement encore plus.
Au moins les mercenaires islamistes luttent pour ce qu'ils croient leurs objectifs.
Voila ce que les impérialistes ont fait de la Libye. Un champ d'affrontements entre patriotes et impérialistes, islamistes et réactionnaires pro occidentaux.
Voila ce qui ont soutenu les social traitres, soutiens objectifs de cette agression criminelle des impérialistes, voila ce qui ont laissé faire sans réagir d'autres.