(rojo @ mardi 29 juin 2004 à 12:32 a écrit :(Barnabas @ mardi 29 juin 2004 à 12:24 a écrit : [.. blablabla ...]
C'est là un exemple de conquète du prolétariat. La forme république n'est pas étrangère à cela. C'est dans ce cadre que la lutte des classes prend sa forme la plus achevée. La bourgeoisie est forcée de reconnaître les organisations de classes (syndicats, partis).
[.. blablabla ...]
(Barnabas @ mardi 29 juin 2004 à 14:57 a écrit : Je ne suis pas certains que les ouvriers aient l'impression d'être à la tête de l'Etat. Ce genre d'illusion, les médias nous les font croire principalement au moment des élections. Résultat ? 55% d'abstention, 5% de blancs et nuls, 10% de non inscrits. C'est là les résultats des européennes, mais bon pour les présidentielles et les régionales, c'était pas non plus l'enthousiasme!
On ne croit donc pas être les chefs, ni en france, ni à l'est, ni en angleterre, mais ce que les ouvriers à l'est comprènnent, c'est que l'europe signifie la fin dui code du travail, la fin de tous les acquis d'octobre 1917. En france cela signifie la même chose, avec d'autres caractèristiques.
Contre ce mouvement de la classe certains démaguos proposent un smic européens... et se font lacher par leur éléctorat.
La Russie n'est pas en Europe (quoiqu'en disent les géographes), et pourtant Poutine a "réformé" le code du travail en autorisant les entreprises à rémunérer leurs employés en nature jusqu'à 30% du salaire. Cela n'a pas ébranlé la "république" russe.
C'est vrai, les acquis de 1917 sont bien loin, surtout que Staline les a depuis longtemps enterrés !
(manu @ mardi 29 juin 2004 à 15:06 a écrit :a écrit :La Russie n'est pas en Europe
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